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Référence de la petite annonce : 8602
Je propose dans la catégorie : spiritualité
Site Web Pièce jointe: Les cailloux dans l etang de la conscience.doc
annonce déposée le : 29-03-2016
Par : avi
Jeshua - Lancer des cailloux dans l’étang de la conscience
Note: cette information fait partie des diffusions de la liste "Groupe de Conscience" (1300 destinataires environ), incluant des sujets tels que méditation, spiritualité, techniques de respiration, textes canalisés, vidéos inspirées, et tout ce qui se prête à l'expansion de notre Conscience. Pour recevoir par email toutes les prochaines diffusions, faites-en la demande en répondant à cette annonce avec vos prénom et nom, et le sujet "inscription GC", ou envoyez un mail vide à g.c-subscribe@etreplus.fr, depuis l'adresse e-mail à inscrire. Confirmez ensuite dans votre boite de réception. 

Bonjour,

Voici le contenu tout juste traduit de la leçon 8 du Livre de Jayem, "La Voie de la Maitrise", reçu en canalisation de Jeshua.

Un enseignement exceptionnel sur notre Nature, l'Amour et la Conscience.

Bonne lecture
Avec amour
Avi

(texte imprimable en pièce jointe au format Word)

Utilisez toujours votre discernement par rapport à ces textes.
Vous avez un Libre Arbitre, alors utilisez le!


La Voie de la Maitrise

Leçon 8 - Lancer des cailloux dans l’étang de la conscience

Comme toujours, je viens à vous en tant que votre égal – pour demeurer avec vous, pour marcher avec vous, pour communiquer avec vous – à partir de cet Esprit et de ce Cœur que nous partageons éternellement en tant que un, cet Esprit qui est la seule réalité de notre Filialité partagée, notre existence partagée. Comme toujours, je viens dans la joie et aussi dans l’humilité. Car je ne peux pas rejoindre quelqu’un à moins qu’il ou elle permette l’espace à l’intérieur de leur conscience et me laisse entrer à l’intérieur.

Par conséquent, comprenez bien, que quand je viens demeurer avec vous, je viens avec une humilité née de la reconnaissance du grand mystère qui vous a donné votre existence. Ce mystère est ce que j’ai appelé Abba, le Père.

 

Pourquoi ? Vous n’êtes pas issus d’une certaine force mécanique ou non pensante. Vous êtes issus de la pure intelligence. Vous êtes issus du pur Amour. Vous êtes issus d’une Source au-delà de toute compréhension. Vous êtes issus d’un rayonnement de Lumière si brillant que le monde ne peut pas le voir ou le contenir. Vous êtes issus de ce qui, seul, est éternellement réel. Et parce que vous êtes issus de là, vous êtes un avec cela, toujours.

 

Ceci signifie que vous demeurez dans une relation – du crée au Créateur, étincelle ou enfant au parent – qui est si intime, un lien si profond, qu’il ne peut être cassé à aucun moment. Telle une vague qui surgit de l’océan ne peut être séparée de l’océan lui-même, ainsi de même, à chaque instant de votre expérience, vous demeurez dans une union si puissante, si mystérieuse, si intime et si immédiate que l’esprit ne peut pas la comprendre.

 

Cette union vous connecte, en tant que création, au mystère qui se trouve au‑delà de la compréhension et qui contient chaque goutte de la sagesse et de l’intelligence nécessaires pour créer la conscience elle-même. La conscience, le pouvoir d’être conscient, le pouvoir de choisir, c’est ce que vous êtes vraiment.

 

Si cette Source, ce mystère, peut donner naissance à cet aspect le plus fondamental de la création, ne mérite t-elle pas d’être appelée Abba ou Père, celui qui se crée lui-même ? Pouvez-vous alors commencer à ressentir, à connaître - pas seulement en tant qu’idée intellectuelle, mais en tant que réalité vivante, en tant que la connaissance - le fait que si vous êtes conscient à cet instant même, c’est parce que vous êtes un avec la Source de toute création et que ne pouvez être séparé de celle-ci d’aucune manière ou à aucun moment ?

 

La peur, ainsi que nous l’avons dit plusieurs fois, est comme une contraction. Reprenons cette image. Imaginez une vague qui surgit de l’océan et qui se contracte ensuite parce qu’elle pense être séparée de sa source. Cette contraction resserre la vie, comme si les eaux fluides de la vague étaient comprimées. Cette vague pourrait-elle continuer à s’écouler si sa force de vie lui était retirée ? Ne serait-elle pas alors réduite à de simples gouttes d’eau qui disparaîtraient de la vue en retombant pour se dissoudre dans l’océan ? Son onde a disparue, et ne sera plus jamais visible.

S’il était possible de comprimer véritablement la force de vie de la vague de votre conscience, vous aussi vous retourneriez vous dissoudre dans l’océan comme des gouttes, définitivement oubliées et perdues de vue.

Ecoutez, et écoutez bien : cela serait la mort. Mais en réalité, vous êtes toujours vivants. Même quand vous vous êtes identifiés avec la grande contraction qu’est la peur, vos peurs n’ont jamais été capables de vous ôter la grande force de vie, la grande réalité, et le grand don de la conscience. Par conséquent, vous n’avez, jamais cessé d’être. Il n’y a jamais eu un instant où vous n’avez pas existé et il n’y aura jamais de moment où vous cesserez d’être.

Par conséquent, vous êtes très semblables à une vague qui a commencé à surgir d’un océan invisible et qui, en gagnant de la force, se déplace à la surface de la planète. Comme la vague, vous êtes en mouvement perpétuel. Jusqu’où allez-vous ? Vers une extension permanente de votre conscience même. Vers une extension permanente de tout ce que vous choisissez d’emporter sur votre chemin et d’en faire une partie de votre Soi. Vers une extension permanente qui vous conduira à vivre l’expérience de goûter les fruits des nombreuses pensées que vous avez considérées comme étant les vôtres.

Ainsi, comprenez bien ceci : en ce moment, à cet instant même, où que vous soyez, quoi que vous expérimentiez, tout ce que vous voyez, tout ce que vous ressentez, tout ce que vous connaissez, tout ce que vous cherchez à éviter, et toutes les choses auxquelles vous accordez de la valeur ou que vous dévalorisez, toutes ces choses sont contenues à l’intérieur de votre conscience. Car si elles ne se trouvaient pas là, elles n’existeraient pas pour vous.

Ainsi, observez ce qui se trouve dans votre conscience, à l’intérieur de votre conscience. Quelles sont les choses que vous savez que vous connaissez ? Quelles sont les choses que vous cherchez à éviter ? Quels sentiments n’avez vous pas explorés ? Quels sont les objets, les gens, les lieux, les valeurs que vous recherchez tant et qui semblent faire vibrer les cellules de votre corps ? Qu’est-ce que le corps lui-même, sinon ce qui surgit à l’intérieur de votre conscience ?

 

Regardez la planète autour de vous. Voyez chaque objet qui se trouve dans la pièce où vous êtes. Observez chacune des pensées que vous choisissez. Considérez les perceptions et les idées que vous défendez si férocement. Regardez chez les autres les pensées et les sentiments, qui vous donnent envie de réagir ou de fuir.

 

Tout ce qui vous habite est comme le pouvoir et la force vitale qui habitent la vague lorsqu’elle surgit de l’océan. Toutes ces choses, vous les avez recueillies sur votre chemin. Et ce chemin a été si long et si varié ! Si vous ne pouvez jamais imaginer cesser d’exister, cela veut dire que vous êtes comme une vague de conscience qui a traversé chaque époque, chaque système planétaire, et chaque dimension de création.

 

Le long du chemin, une chose est restée constante. Vous avez été en relation constante avec toute la création. Oh oui, vous pouvez décider de choisir certaines personnes, certains objets, une planète, une dimension, pour focaliser toute votre attention. L’attention n’est rien d’autre que la décision d’utiliser le pouvoir de votre conscience pour vous focaliser. Il semble que vous ayez exclu tout le reste, mais ceci n’est qu’une illusion d’optique dans la conscience.

 

S’il est très vrai que vous ayez sélectionné certains aspects de la création pour focaliser votre conscience, sous-jacent à ceci – dans la profondeur de la vague qui est invisible à l’œil physique – inaccessible à ce que vous appelez votre conscience consciente ou votre vie quotidienne – vous êtes restés en parfaite communion avec toute la création.

 

Vous êtes par conséquent en relation avec toutes les choses qui ont été créées et avec lesquelles il existe une communication qui ne cesse jamais. Imaginez que vous soyez capable de regarder l’atmosphère de votre planète et de voir les ondes radio, les ondes de la télévision, et toutes les ondes électromagnétiques qui pulsent sans cesse sur votre planète. C’est là où vous nagez quotidiennement. Votre conscience s’imprègne de ce champ de vibrations.

 

VOUS N’EXPERIMENTEZ QUE CE QUE VOUS AVEZ CHOISI DE CREER

 

Vous êtes celui qui sélectionne ce dont vous allez être conscient, ce que vous appelez dans le champ de votre expérience. Vous sélectionnez ainsi ce qui va laisser une trace sur vous.

 

Imaginez, alors, un étang d’eau pure et claire. Vous lancez un seul caillou. De cette mare rayonnent des vagues. C’est ce qui se produit constamment dans le champ d’ondes de votre conscience.

 

Alors que vous attirez à vous des personnes, des lieux, des objets, des choses et par-dessus tous, des pensées, des croyances et perceptions, vous les avez laissés tomber comme des petits cailloux dans l’étang clair et lisse de votre conscience vaste et éternelle. Ce que vous expérimentez, ce sont les effets ou les ondes de ces cailloux. Ces ondes rejoignent d’autres ondes que vous avez créées. Et alors que ces ondes se déplacent, se touchent les unes aux autres et reviennent vers vous, elles deviennent le champ de création qui compose votre réalité physique tridimensionnelle.

 

Ainsi, vous n’expérimentez jamais autre chose que ce que vous avez décidé de créer en choisissant les cailloux que vous avez lancés dans le champ de votre conscience. Littéralement vous n’expérimentez jamais une chose isolée. Vous n’expérimentez pas des objets. Ce que vous expérimentez, c’est l’effet d’une pensée ou croyance à propos d’un objet. Vous n’expérimentez jamais une autre personne, car celle-ci n’est qu’un ensemble de champs vibratoires.

 

Vous pourriez dire que chaque personne, chaque objet (pour employer votre langage) est réellement un réseau de relations, unique et en apparence différent de vous, mais qu’il reste cependant un réseau de relations.

 

Quel enfant pourrait être séparé de ses parents, de son héritage culturel, de l’expérience unique de son interaction avec les réseaux de relations qui l’ont entouré depuis le moment de sa conception ? Quel gamin peut être séparé et écarté de la matrice de sa mère et père ? Quelle feuille d’arbre est séparée de la température de l’air, de la qualité de l’eau et des nutriments qui proviennent du sol même de la Terre ?

 

Tout est un réseau de relations. Tous les réseaux sont en relation avec tous les autres réseaux et ils s’agrandissent à l’infini.

 

Vous êtes ainsi un réseau de relations à travers lequel vous avez choisi certains cailloux – que ce soit des pensées, des perceptions ou des expériences – et vous les avez laissés tomber dans l’étang clair et lisse de votre conscience en vue de créer d’avantage d’ondes. Ensuite, vous avez choisi celles qui ont le plus de valeur pour vous. Celles que vous enfermez dans votre être deviennent votre champ émotionnel. Le champ émotionnel est le premier niveau de cristallisation du corps.

 

A partir du champ émotionnel, une cristallisation ultérieure crée l’apparence d’une forme physique. C’est ce que vous manifestez sur votre planète dans le champ très temporaire et tridimensionnel de votre conscience, alors que tout autour de vous – et juste en dessous du niveau de votre conscience quotidienne – vous restez en communication avec tous les réseaux de relations à travers toutes les dimensions de création. C’est pour cette raison qu’une pensée inspirée peut arriver soudainement à vous et pénétrer votre conscience ordinaire. Et vous vous demandez : « D’où cette pensée peut-elle bien venir ? »

 

Ou bien une image apparait soudainement dans votre esprit. Ceci pourrait être n’importe quoi – un homme et une femme faisant l’amour, un homme faisant l’amour à un autre homme, un enfant jouant dans un jardin, un dauphin, ou l’image d’un conflit ou d’une guerre. D’où viennent-ces images ?

 

Etant donné que vous vivez en parfaite communion et que vous êtes comme un grand champ d’énergie dans lequel résonnent constamment tous les autres réseaux de relations, vous avez en réalité accès à la totalité de la création. Et cette totalité n’est pas limitée à ce qui se déroule maintenant, selon votre définition du temps. Vous avez à votre disposition tout ce que vous appelez le passé et le futur.

 

Ces choses là vous sont disponibles à tout moment. Il n’y a personne parmi vous qui n’ait expérimenté ceci. Peut être avez-vous pensé soudainement à un ami, et alors le téléphone a sonné, et vous saviez que c’était cet ami.

 

Ceci n’a pas de sens dans votre plan tridimensionnel, mais parce que qu’en dessous de celui-ci – même si votre esprit conscient était occupé à préparer le petit déjeuner, à acheter ou à vendre des actions en bourse, ou à choisir son parfum – vous étiez intérieurement en parfaite communion. C’est pourquoi quand il existe une profonde résonance avec un ami séparé par des milliers de kilomètres, vous savez instantanément que vous devez l’appeler au téléphone. Vous vous sentez concerné. Peut-être s’est-il simplement cogné le doigt de pied, mais vous en avez ressenti la vibration.

 

Vous vivez tous ceci. Vous savez tous ceci. Il n’y a pas de secret à ce sujet. Ce que je cherche est d’attirer votre attention sur ce sujet. Un caillou a été lancé dans le champ de votre conscience, qui est en général vrai pour tous ceux qui sont impliqués dans l’expérience tridimensionnelle appelée physicalité.

 

Un de ces cailloux est le suivant. Imaginez une phrase lancée à partir d’une grande hauteur, prenant de la vitesse jusqu’à ce qu’elle touche l’étang lisse de votre conscience, et qui envoie une onde, créant une vibration à travers vous. La phrase est simplement celle-ci : « Il m’est impossible de maîtriser parfaitement les cailloux qui sont lancés dans ma conscience. Je suis à la merci du champ vibratoire créé par les ondes de toutes les pensées des réseaux de relation dans lesquels je nage constamment ».

 

Cette perception est absolument vraie … tant que vous choisissez d’y croire. Cette perception ou croyance est vraiment risible et sans pouvoir tant que vous avez choisi de la qualifier ainsi.

 

Qu’est ce que cela signifie ? Simplement ceci : si vous choisissiez de vous éveiller totalement, si vous choisissiez de ne pas être simplement une vague qui a mystérieusement surgit de l’océan, si vous choisissiez d’être plus qu’une simple âme surgie de l’Esprit de Dieu et qui d’une certaine manière s’écrase à travers l’univers, à propos du caillou qui tombe dans l’étang lisse et clair de votre conscience, il est absolument nécessaire de faire vôtre cette pensée :

 

« Je suis celui qui choisit les effets que j’expérimente,

Moi seul, j’interprète toutes les relations ou expériences neutres.

Moi seul, je donne de la valeur aux objets, aux choses, aux pensées, et aux croyances.

Moi seul, je suis le vrai créateur de l’expérience de chaque instant. »

 

Ceci, comme vous le voyez, change tout. Vous n’allez plus jamais vous permettre de ressentir que vous êtes juste une victime de forces inconscientes. Vous n’allez plus jamais chercher en dehors de vous et trouver que l’autre est coupable. L’énergie du jugement ne pourra plus jamais être projetée par vous sur quelqu’un d’autre. L’énergie du jugement ne pourra plus jamais dominer votre esprit divin. Cette seule pensée, tel un caillou lancé dans l’étang lisse de votre conscience, est absolument essentielle si vous décidez de vous éveiller totalement. Et c’est le sujet de cette leçon.

 

VOUS N’ETES PAS UNE VICTIME DU MONDE QUE VOUS VOYEZ

 

Même si vous entendiez plusieurs fois la parole, celle qui porte la vibration de la Vérité, celle-ci pourrait être niée autant de fois qu’elle est entendue. Vous pouvez choisir de ne pas lui permettre de siéger profondément dans le champ de votre conscience, afin qu’elle affecte chaque goutte d’eau qui constitue la vague que vous êtes. Vous pouvez garder l’espoir que vous êtes encore une victime du monde que vous voyez, et que les événements ont une certaine valeur en soi qui ne provient pas de celle que vous leur avez donnée. Et tant que vous choisirez de nier le monde, vous ne pourrez pas vous en libérer.

 

Car l’esprit qui choisit, même à un faible niveau, de se percevoir en tant que victime du monde de son expérience, demeure sans pouvoir. Il reste dans l’état qui génère la frustration, la faiblesse, la peur, le doute envers soi, l’indignité, la souffrance, la douleur, la douleur émotionnelle de la solitude ou de la séparation, et le manque de plénitude. En fin de compte, cet esprit génère l’écho de la croyance que vous avez été réprimés si fermement par la peur, que vous êtes littéralement séparés de l’océan de l’Esprit de Dieu.

 

La conscience est tout ce que vous avez et tout ce que vous êtes. Tout ce que vous choisissez d’expérimenter dépend de l’usage que vous en faites. Et de ceci découle votre décision du comment vous allez expérimenter ce que vous avez appelé à vous.

 

En vérité – et écoutez moi bien - aucune expérience que ayez jamais eue ne vous a défini ou identifié. Aucune expérience que vous avez choisi de créer, d’appeler à vous, et à laquelle vous avez ensuite donné une valeur importante, ne vous a jamais rendu plus grand ou moins grand que quiconque d’autre –pas même moi. Même si certains ont encore besoin de croire que je suis bien au-delà d’eux. Aucune expérience que vous n’ayez jamais eue n’a prouvé votre indignité d’être soutenu et aimé par votre Créateur.

 

Ainsi, vous demeurez tel que vous avez été créé : une vague remplie avec le même pouvoir que l’océan tout entier, une vague, une âme, un réseau de relations surgissant de l’Esprit divin de Dieu. Avec l’élan d’un flot sans fin et avec la liberté de créer et de décider quelles vibrations vous allez permettre de demeurer en vous et de faire partie de vous, quelles pensées vous allez défendre, à quelles perceptions vous allez être fidèle.

 

Vous êtes ainsi, un éternel créateur. Et ceci est la seule chose à propos de laquelle vous n’avez pas de libre arbitre. Vous ne pouvez jamais décider d’être un non-participant au mystère même de l’extension de la création. Quand vous avez eu la pensée : « Je refuse de participer à la création de Dieu », vous avez littéralement créé la perception, l’expérience de vous-même comme étant en dehors ou séparé de la création elle-même. Vous avez créé l’émotion folle d’essayer de séparer la vague, de l’océan lui-même. Et vous allez créer la perception de séparation, même si rien en réalité n’a été affecté.

 

Pourquoi est-ce si important ? Parce que, vous voyez, le processus de guérison n’est pas difficile. Il demande seulement la bonne volonté d’accepter d’être l’effet du désir du Créateur de créer comme lui-même – de même qu’une vague est l’effet du désir de l’océan de s’exprimer lui-même d’une nouvelle manière, dans une nouvelle forme, et d’amener l’unicité à chaque vague qui surgit des profondeurs mystérieuses.

 

L’abandon est donc le processus par lequel vous allez finalement céder, vous abandonnez la résistance à votre existence même. Vous arrêtez de pleurnicher. Vous arrêtez vos soucis. Vous prenez la décision d’aller avec le fait d’être en vie ! Et ce qui est vivant en vous va vivre à jamais. Il n’y a pas de lieu où se cacher et où aller.

 

CREER COMME LE CHRIST

 

Quand vous laissez tomber ce caillou dans l’esprit :

 

« Je ne suis pas la victime du monde que je vois.

Je suis un créateur permanent,

Fait à partir de la même essence que mon Créateur lui-même. »

 

Les questions se mettent vraiment à prendre une autre tournure. Vous commencez à utiliser le pouvoir de votre conscience pour choisir délibérément et de manière sélective quelles vibrations, quels réseaux de relations vous allez amener dans le champ de votre conscience – quels sont ceux avec lesquels vous allez résonner, et quels sont ceux que vous allez éloigner de votre esprit, de votre conscience.

 

Si vous teniez à une pensée de petitesse, à une pensée de manque, ou à une pensée d’impuissance, vous commencez à présent à voir que tout est parfaitement neutre. Il est parfait et sans danger de regarder tout ce que vous avez toujours créé et expérimenté, et de dire : « Ceci est très bien, et maintenant j’en ai fini avec ceci ».

 

« Que faire ensuite ? Quels cailloux puis-je lancer dans mon esprit divin à cet instant même ? Puis-je regarder mon expérience actuelle et voir qu’elle est l’effet, l’ondulation d’un caillou ou une pensée que j’ai lancée dans mon esprit il y a si longtemps que je ne m’en souviens plus ? Puis-je regarder ces événements qui se déroulent autour de moi ? »

 

Et s’ils se déroulent dans votre corps, croyez-moi, c’est qu’ils se trouvent encore autour de vous, car vous êtes bien plus qu’un corps.

 

« Puis-je commencer maintenant ; est-ce que je veux à présent lancer un caillou différent dans l’étang lisse d’une clarté infinie de la conscience qui est ce qui est vivant à mon sujet toujours ? Vais-je oser une pensée différente ? Vais-je oser lancer un tel caillou dans ma conscience ?

 

Alors, de quels cailloux s’agit-il ?

 

Je pense que je vais devenir un sauveur du monde, un Christ. Qu’en serait-il ? Quelles vibrations aurais-je besoin d’abandonner dans ma vie et vers lesquelles aurais-je besoin de m’ouvrir ? Quel serait le ressenti ? Que verrais-je à travers le champ de ma conscience en création ?

 

Je pense que je vais me permettre d’être capable de communier avec tous les réseaux de relations, avec toute âme, avec tout être qui existe sur tous les plans de la création. Tiens, peut-être vais-je même me permettre de savoir que je suis en communication avec Jeshua.

 

Quel niveau de richesse puis-je atteindre dans la réalité de la troisième dimension ? Combien de pièces d’or pourrais-je créer en vue de les distribuer aux autres ?

 

Vers combien de lieux sur la planète pourrais-je conduire ce corps dans la limite d’une courte vie physique ?

 

A combien d’êtres pourrais-je dire « Je vous aime » ? Jusqu’à quel point pourrais-je ouvrir mon cœur ? Jusqu’à quelle profondeur pourrais-je ressentir la paix ?

 

Le domaine des possibilités est aussi infini que vous l’êtes. Celles que vous retenez et choisissez sont celles qui vont créer le réseau de relations que vous appellerez votre vie, votre expérience, jusqu’à la manière dont vous expérimenterez la transition – appelée la mort par erreur– dans votre monde.

 

Appelleriez-vous une mort le fait de quitter une pièce en fermant la porte derrière vous et entrant dans une autre ? Bien sûr que non. Vous dites simplement : « j’étais là bas ; maintenant je suis ici ». Ceci est vraiment ce qui se produit quand les molécules que vous avez agrégées à vous-même se décollent, parce que vous abandonnez la valeur que vous leur accordiez, et quand leurs constituants, leurs parties, retournent à la poussière ou dans le champ d’énergie de la planète. Vous ne faites simplement que quitter une pièce pour entrer dans une autre.

 

Je vous appelle dans cette leçon vers ceci : bien vouloir permettre au caillou d’être lancé dans votre champ, ou étang de la conscience, et y diffuser l’énergie de cette pensée :

 

A partir de cet instant, je choisis de donner naissance au Christ,

et par conséquent d’apprendre ce qu’est le Christ!

 

Votre expérience devient alors l’apprentissage de ce qu’est le Christ. Quand cet apprentissage s’achève, vous découvrez que ce que vous avez appris est ce que vous avez créé. Vous avez fait un tour complet. Le fils prodigue ou fille, voyageant à travers le champ de toutes les possibilités, est revenu en tant que le Christ éveillé, et a pris sa place légitime à la droite du Créateur.

 

Quel est le symbolisme de tout ceci ? Cela veut juste dire que vous avez finalement pensé avec votre esprit juste. Vous pensez tel que pense Dieu, et Dieu pense de manière aimante. Dieu pense infiniment, en dehors du temps, patiemment, certainement, et par-dessus tout, Dieu pense à jouer en s’amusant !

 

Quand vous ressentez un tel Amour et une telle joie en vous que vous avez du mal à les contenir, ne commencez-vous pas à danser, à bouger le corps et à dire : « Oh, seigneur, que vais-je faire d’une telle énergie ? » Vous appelez alors vos amis et leur dites : « Faisons la fête, allons au cinéma, préparons un festin délicieux. A qui pourrais-je écrire une lettre ? Oh, à qui pourrais-je envoyer des fleurs ? » Ne vous sentez vous pas pris par le désir de laisser cette énergie s’expanser en dehors de vous, et toucher toutes les parties de votre création ?

 

Bien, imaginez que vous êtes Dieu – infini, vaste, sans un haut ni bas, sans droite ni gauche, ne contenant que l’Amour pur, inconditionnel et rayonnant ! Pouvez-vous imaginer être capable de vous retenir et de déclarer : « Oh, bien, je pense que vais seulement m’asseoir ici et ne pas le partager avec qui que ce soit ? » Non ! Dieu dit : « Que la lumière soit ! ». Et cela fut très bien ! Dieu regarda toute la création, ce qui signifie littéralement non seulement cette planète, mais l’ensemble d’un nombre infini de créations, de dimensions, et de dimensions et encore de dimensions, et tous les petits réseaux de relations appelés âmes qu’Il amena à l’existence en un clin d’œil en affirmant :

 

Ceci est très bien ! Voici Mon Œuvre ! Ma joie, Mon Amour et

ma Vie se sont manifestés et ont débordé Mon Grand Être et

amené à la manifestation : vous-même !

 

Vous – chacun et chacune d’entre vous – sont faits à partir de l’essence même de ce débordement d’Amour et de joie qui a le pouvoir de créer à l’infini et ainsi étendre la création elle-même ! C’est ce que vous êtes ! Et c’est là où vous vous trouvez ici et maintenant, à jamais. Et vous n’y échapperez jamais.

 

CREANT LA MAITRISE

 

La maîtrise survient quand la peur a été totalement dissoute. La peur est dissoute non pas en la craignant, non pas en la haïssant, non pas en la jugeant. Mais en la regardant avec une parfaite innocence. En l’embrassant de la même manière qu’un scientifique observerait les ondulations d’un petit caillou lancé dans une étendue d’eau, et verrait d’autres petites ondulations et d’autres perturbations temporaires se diffuser dans l’étendue ou à la surface de l’eau.

 

En regardant à l’intérieur de vous et en remarquant les choses dont vous avez peur et comment la peur a restreint votre créativité, votre joie de vivre et votre état illimité, vous pourrez regarder avec innocence et avec émerveillement et déclarer : « Oh, je vois comment cette ondulation a affecté la création que j’appelle ma vie. Est-ce que je l’aime ? Plus maintenant. Bien. Je pense que je vais m’en débarrasser. Par quoi pourrais-je la remplacer ?

 

La maîtrise est un état dans lequel vous embrassez votre être en tant que créateur éternel en assumant une complète responsabilité pour tout ce qui arrive dans le champ de votre conscience sans le juger, afin que vous puissiez simplement décider s’il convient de le garder ou s’il faudrait en faire disparaître les effets. La maîtrise est sans peur. Cela veut dire que vous n’avez plus peur du pouvoir infini et créatif de votre union parfaite avec Dieu. « Moi et mon Père sommes Un ! » est une expression de la maîtrise.

 

Si moi qui ait murmuré ces paroles il y a si longtemps dans votre expérience du temps, peux prouver à tous ceux qui veulent le voir, que cette conscience transcende les croyances limitées à propos du corps, de la vie et mort que le monde semble si déterminé à défendre à tout prix. Si je peux prouver que seul l’Amour est réel, si je peux démontrer la possibilité de communiquer avec les esprits à travers la création, si je peux produire des créations en m’associant avec d’autres esprits qui semblent s’identifier temporairement à leur corps, afin que les mots remplissent une page et que la page devienne une partie du livre que vous lisez maintenant pour que votre cœur soit touché au bon moment ; si je peux faire de telles choses, alors vous aussi le pouvez. Et vous pourrez même réaliser de plus grandes choses que celles-ci !

 

Amis bien aimés, n’est-ce pas le moment d’assumer la complète responsabilité de la grande liberté qui vous a été accordée par Abba, le Père, le Créateur, la Source de votre être ? N’est-ce pas le moment de vous défaire du point de vue étriqué qui vous maintient dans la croyance que ce que vous ressentez et pensez est l’effet de toutes les énergies et de toutes les choses qui viennent à vous depuis l’extérieur ? N’est-il pas temps de commencer à utiliser le temps pour choisir les cailloux vous allez lancer dans le champ de votre conscience de façon constante, jour après jour, heure après heure, et même souffle après souffle ?

 

Car ces choses créent vos lendemains, et vous ne pouvez pas échapper à la réalité que vous êtes et que vous serez toujours dans le processus de créer vos lendemains. La mort ne vous séparera jamais de ceci. Le déni ne change rien.

 

Vous êtes libres de choisir vos lendemains en posant l’acte de chercher en premier le Royaume. Ceci signifie savoir, dans le repos de votre silence intérieur, que vous êtes une vague qui s’est soulevée de la profondeur de l’océan de l’Esprit divin de Dieu dans un élan parfait. Et que ce que vous amenez avec vous est le résultat des pensées, des croyances et des perceptions – tels des cailloux – que vous avez lancés dans la vague de votre conscience.

 

Ce processus même est ce qui vous a créé, et ce même processus est celui avec lequel vous avez toujours créé. Quand vous êtes déjà allés à l’école, comment arriviez-vous dans la salle de classe ? Est-ce que quelqu’un vous a kidnappé, vous a fait asseoir et a ordonné : « Ici, vous devez apprendre ces leçons » ? Non. Vous avez d’abord eu une pensée, une image, et vous leur avez accordé une certaine valeur. Puis vous avez attiré les moyens qui vous ont conduit à vivre l’expérience de recevoir l’enseignement que vous aviez choisi.

 

Avec qui êtes-vous entré en relation en manquant de conscience ? Avec personne. Vous avez lancé dans votre esprit un caillou qui disait : « Je veux une relation avec un autre être, un autre corps, un autre endroit du monde physique.» Vous avez toujours agi ainsi et vous avez toujours expérimenté le fruit ou l’effet des vibrations du caillou, des ondulations qui sont devenues vos expériences. En réalité, votre expérience, c’est à dire votre conscience – ce qui est vrai à propos de vous – n’est pas différent de ce qui est vrai à propos de moi.

 

La seule différence est que j’ai appris à m’entraîner, heure après heure, à ne lancer que des cailloux illimités, à envoyer des vibrations d’acceptation inconditionnelle, d’Amour, de pardon, de vision et de révélation inconditionnelles et sans limites, alors que vous avez choisi de ne le faire que peu de fois.

 

Ensuite vous vous êtes dépêchés et avez ramassés des cailloux d’indignité, de limitation, de manque, de peur ou de petitesse, et vous avez en avez lancé vite dix ou douze. Vous êtes allés ensuite de l’autre côté de la tasse et vous avez dit : « Hum, voici le caillou qui affirme : « Moi et mon Père sommes un »… oh, j’en ai assez de ceci ! Et voilà que vous recommencez.

 

Alors que je demeure de ce côté-ci du voile en déclarant :

 

Moi et mon Père sommes un ! Moi et mon Père sommes un !

Je suis un être illimité à jamais !

Combien d’univers vais-je sauver aujourd’hui ?

 

Vous, de l’autre côté, dites : « Ceci a l’air très bien. Moi et mon Père sommes un. Oh voici le caillou qui dit que ma voiture a besoin d’être en panne aujourd’hui. »

 

Voici tout dont il est question ! De quel côté du voile allez-vous vous asseoir et lancer les cailloux ? De quel arbre allez-vous manger le fruit ? De l’arbre de la connaissance du bien et du mal ?

 

Utilisez ce symbolisme à bon escient car, quand vous lancez le caillou dans l’étang, cela revient à dire : « Bien, je pense que je vais mordre un morceau de ce fruit. Oh, mais il est trop sucré, il est si bon et si parfait. Je ferais mieux de mordre un pourri pour équilibrer tout ceci ». L’arbre du bien et du mal – du positif et négatif, illimité-limité, pardon-jugement, amour-peur – est comme le fait de tenir une belle fleur, de voir les pétales et d’affirmer : « Oh, elle est si belle. Je ne peux pas vraiment la prendre, je pense que je vais me piquer le doigt avec l’épine et que je vais reculer ».

 

Personne ne vous a dit, et votre Créateur n’a jamais insisté, pour que vous mangiez des fruits de l’arbre du bien et du mal. Car tout bon fruit vous a été donné gratuitement. Et vous êtes toujours libre de choisir de quel fruit vous allez manger ainsi :

 

Moi et mon Père sommes un ! Quelle création bénie.

J’ai eue tant de plaisir sur cette vague. Oui, je vois

ce que j’ai amené avec moi. Bien, c’était amusant.

J’ai gagné certaines choses. Maintenant, qu’est-ce qui vient après ceci ?

 

L’illimité – parbleu ! Le Parfait Amour – parbleu !

Le bien être – parbleu !

La capacité à guérir – parbleu ! parbleu ! parbleu !

 

Oh oui, je vois le petit caillou posé sur le rivage que j’ai pris un million de fois : l’indignité – parbleu !

Mais c’est fini ! J’en ai assez !

 

Moi et mon Père sommes un ! Moi et mon Père sommes un !

Père, crée à travers moi le bon, le divin et le beau,

car c’est la raison de mon être ! Quelle grande vague puis-je devenir ?

Combien puissant puis-je devenir ? Combien rayonnant puis-je devenir ?

Combien de Toi puis-je exprimer à travers moi ? Parbleu !

 

Rappelez-vous bien, vous créez vos lendemains maintenant ! Ce que vous expérimentez ne vous vient jamais d’en dehors de Vous-même. Si vous vous souciez du manque de pièces dorées – parbleu ! Vous commencez à attirer les ondulations vibratoires qui sembleront vous montrer l’image qui reflète la vérité que vous avez choisi de croire : « Je vis dans le manque et je ne peux pas m’en sortir. (parbleu !) Je ne peux pas parler à Jeshua. Je ne suis pas digne. » (parbleu !)

 

Les ondes qui viennent à vous des parasites qui restreignent votre capacité à transcender la troisième dimension et à vous brancher sur les autres.  C’est ainsi, même si j’hurle et si je crie, « Eh, je vous parle, écoutez-moi, » votre esprit dit : « Ce n’est pas possible parce que j’ai lancé une roche qui dit, « ce n’est pas possible », et par conséquent, je n’entends rien. »

 

Commencez-vous à comprendre ? Commencez-vous à ressentir, au cœur de votre être, l’essence du message de cette leçon ? Vous ne pouvez pas vous empêcher d’être tels que vous avez été créés. Vous êtes à chaque instant, littéralement, en train d’utiliser ce pouvoir incessant et illimité de créer. Et vous demeurez parfaitement libre à tout instant de créer à nouveau. Ce que vous allez expérimenter dans vos lendemains n’est que l’effet de certains cailloux que vous choisissez de lancer dans le champ de votre conscience en tant que pensées, maintenant.

 

Ainsi la seule question est celle-ci :

 

Suis-je, en tant qu’être créatif créé à l’image de Dieu,
prêt à choisir délibérément, consciemment et activement
d’être responsable des pensées, des cailloux,
que je lance dans mon esprit à chaque instant ?

 

Si la réponse est oui, demandez :

 

Quels nouveaux cailloux aimerais-je lancer ?

Quelles qualités vibratoires aimerais-je appeler à moi
et ainsi créer mes lendemains ?

 

Chaque fois que vous réagissez à ce que vous croyez être à l’extérieur de vous-même – vous pouvez en être absolument sûr – vous avez choisi de prendre un vieux caillou qui dit : « Je suis la victime du monde que je vois. Ce que j’expérimente est produit par des forces à l’extérieur de moi. La faute est vraiment celle de ma mère, de mon frère, de mon père, de mon partenaire, de mon enfant. La faute est réellement celle du gouvernement, de la planète, et de la qualité de l’air. La faute se trouve réellement en dehors de moi, et je n’ai pas d’autre choix que de réagir à ceci. » A quoi je ne peux que répondre :

 

Voulez-vous plutôt avoir raison ou être heureux ?

 

En vérité, amis bien aimés, comprenez bien l’essence du message de cette leçon. Car après cela, nous allons commencer à développer ce sujet en avançant vers la fin de la Voie du Cœur. Ceci n’est qu’une fondation à partir laquelle ceux qui sont prêts pourront s’avancer vers une dimension supérieure, vers une plus grande expérience de vie en tant que co-créateurs décidés d’agir avec Dieu.

 

Mais ceci commence par la nécessité d’être responsable et d’intégrer la vérité du message de cette leçon. Sinon, il ne peut y avoir aucun changement dans votre conscience et par conséquent dans les expériences de vos lendemains. Ainsi, s’il existe quelque chose à présent qui vous fait frissonner, imaginez ce qui vous attend si vous choisissez encore une fois de nier cette responsabilité et le pouvoir qui en découle.

 

Amis bien aimés et divins, rappelez-vous que je ne viens pas pour amener la paix dans le monde, mais pour vous secouer afin que les êtres qui ont construit ce monde puissent découvrir où est réellement cachée la paix véritable : à l’intérieur d’eux-mêmes. Où se trouve le Ciel : en eux-mêmes. Où le Christ vit toujours : en eux-mêmes.

 

Que la paix soit toujours en vous. Amen.


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Cette page, mise en ligne le 29-03-2016, a été consultée par 1091 visiteurs
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