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Référence de la petite annonce : 6830
Je propose dans la catégorie : spiritualité
Site Web Pièce jointe: L Amour guerit tout.doc
annonce déposée le : 26-12-2008
Par : avi
L'Amour guérit tout, par Jeshua
Bonjour,

Voici la leçon 6, issue du livre de Jayem, "La voie de la Maitrise".
Un sujet bien d'actualité en cette période de Noël, et en ce moment sur la Planète.

Jayem canalise Jeshua depuis de nombreuses années.
La voie de la Maitrise est un livre américain en cours de traduction, et ce texte en français est une première.
Merci à Renée, Didier et autres traducteurs qui mettent leur énergie à cette belle œuvre.

Bonne lecture
Avec Amour.
Avi

(texte imprimable en pièce jointe au format Word)

Utilisez toujours votre discernement par rapport à ces textes.
Vous avez un Libre Arbitre, alors utilisez le!


LECON 6

L’AMOUR GUÉRIT TOUT

En effet, salutations à vous, amis divins et bien aimés. En effet, salutations à vous, amis divins et bien aimés. Si vous comprenez la signification de cette salutation, si vous comprenez la profondeur de chaque mot utilisé, déjà vous savez tout ce qu’il faut connaître. Et vous êtes bien préparés à étendre l’Amour de Dieu à jamais.

« En effet » signifie simplement qu’il n’y a pas d’autre option. « Salutations à vous » indiquent les salutations à Celui Un crée par le Père avant toutes choses, car je m’incline devant votre rayonnement. « Bien aimés » et Fils divin de Dieu ! En effet, bien aimé de Dieu. En effet, bien aimé de chaque molécule de votre univers physique. En effet, aimé par votre Mère Divine, cette précieuse Terre. En effet, aimé par toute chose que vous puissiez imaginer qui n’a jamais existé ou qui puisse exister, qui se soit étendue à partir du Cœur et l’Esprit de Dieu. Vous êtes le bien aimé, pur et simple. Et à nouveau, il n’y a pas d’autre option.

« Divin », parce que vous êtes entier. Non pas parce que vous avez mérité cette divinité, mais parce qu’elle est la Vérité à partir de laquelle vous vous étendez à jamais. Parce que vous êtes fait à l’image de Dieu, parce que vous êtes issu de l’Esprit de Dieu, vous êtes la divinité même chaque fois que vous mettez de côté la tentation de rêver , le rêve inutile, et que vous marchez sur cette Terre en tant que Christ.

« Ami » divin et bien aimé – un ami n’est pas quelqu’un rien de moins que moi-même. Un ami est celui qui marche dans la parfaite égalité avec le plus grand des maîtres, qui que ce soit que vous puissiez concevoir qu’un maître puisse être. Un ami est celui qui choisit de regarder l’autre et ne voir que la face du Christ en lui. Il n’y a personne qui recevra ces mots qui ne m’a déjà regardé et vu la face du Christ en lui. Et de même, je vous regarde et vous appelle « ami ».

Car quand je vous regarde, je ne vois pas les rêves temporaires que vous pensez avoir et qui durent si longtemps. Je ne vois que le rayonnement de ce que le Père a étendu à partir de l’Amour. Je ne vois que ce qui n’a pas de début ni de fin. Je ne vois que ce qui ne connaît ni de naissance ni de mort. Je ne vois que ce qui n’a pas de limitation. Je ne vois que cette lumière qui s’étend déjà à partir de toutes les dimensions et univers.

Je ne vois que mon frère et ma sœur. Et je ne vois aucune trace d’inégalité entre nous. Pourtant, je reconnais que, à l’intérieur de votre rêve, il vous semble que je sois allé devant vous, juste un peu.

Par moments, à l’intérieur de vos cœurs, il y a un désir de me suivre. Si seulement vous pouviez écouter ce désir, si vous pouviez faire en sorte que ce désir soit le premier à tout instant, votre propre désir vous conduirait pleinement où je suis. Et vous ririez en découvrant que vous n’avez pas bougé d’un pouce – car là où je suis est là où vous êtes, et là où vous êtes est l’éternité, non dans le temps ; là où vous êtes est le lieu de votre naissance : l’Esprit de Dieu.

Ceci est la seule chose qui soit vraie et qui est toujours vraie. Ceci est la seule réalité que vous possédez véritablement. Par conséquent, vraiment, je vous appelle ami. Car en vérité je vous vois tel que je suis. Ainsi, en effet, salutations à vous, amis divins et bien aimés.

Il n’y a rien d’autre à dire. Pourtant l’esprit s’emballe, n’est ce pas ? Il s’emballe loin de la réalité même que je viens juste de vous décrire. L’esprit s’emballe de cette Source tel un rayon de soleil à partir du soleil. Pourtant en réalité, il ne quitte jamais sa Source. Le pouvoir même par lequel vous semblez être distrait par une pensée momentanée de peur est le même pouvoir par lequel vous vous éveillerez à votre propre appel.

SI VOUS POUVIEZ CONNAITRE L’AMOUR, VOUS CONNAITRIEZ VOTRE SOI

En vérité, il existe un lieu en vous qui connaît déjà le jour et l’heure. Vous savez déjà quand vous allez décider de vivre la décision de vous éveiller à Dieu, d’être seulement la présence de l’Amour. L’Amour embrasse toute chose, permet toute chose, fait confiance à toute chose, et par conséquent, transcende toute chose. L’amour n’est jamais possessif. L’amour n’a jamais peur. L’amour est simplement l’Amour. L’amour ne peut briller en particulier sur une personne à la fois. Car cette « particularité », en soi, est une contraction ; l’essai de prendre l’Amour et de faire en sorte qu’il ne brille que sur un objet, que sur une personne, que sur un être, que sur un univers.

Ainsi, chaque fois que vous reconnaissez que vous avez désigné quelqu’un ou quelque chose et dites : « Ils détiennent une grande valeur », vous pouvez êtres sûrs que vous n’êtes pas amoureux du tout. Vous êtes dans la peur. Et si lui ou elle devaient vous quitter, où iriez-vous ? Mais vi vous êtes Amoureux tel un poisson dans la mer, tous les êtres peuvent passer et disparaître et vous les bénirez sur leur chemin. Vous vous rappellerez que vous demeurez là où Dieu vous a placé : dans son Cœur. Quand vous choisissez de n’être que la présence de l’Amour, même le rêve de perte disparaîtra de votre conscience telle une brume de la forêt devant le soleil levant.

En effet, amis bien aimés, l’Amour attend que vous l’accueilliez. Pourtant vous ne pouvez pas accueillir l’Amour en attendant qu’il vous soit amené par quelqu’un d’autre, même pas par moi. Vous ne pouvez pas accueillir l’Amour en essayant d’éviter de créer l’environnement que vous croyez vos préférences sont remplies. Vous ne pouvez accueillir l’Amour quand cet accueil est attaché ou relié à une quelconque chose, à quoique ce soit qui soit née dans le temps. L’amour ne peut être accueilli que là où l’Amour réside vraiment. Et l’Amour réside en vous en tant que noyau et Source de votre être même.

Ainsi, si vous pouviez connaître l’Amour, vous connaitriez votre Soi. Embrassez la vérité à propos de lui et la Vérité vous libérera. Alors, vraiment, l’Amour se répandra à travers vous. Telle la grande lumière du soleil qui vient nourrir cette Terre bien aimée, l’Amour qui coule à travers vous le fera sans entrave. Il ne rencontrera pas d’obstacle. Vous regarderez n’importe qui en face de vous et vous saurez qu’il a été envoyé à vous par le Père. Le Saint Esprit l’a guidé à vous parce que, à travers vous, l’Amour peut être donné d’une manière qui commence à toucher l’endroit de leur éveil. C’est pourquoi vous n’êtes que le serviteur de l’Amour. C’est en fait tout ce qu’est la vie !

Quand vous choisissez de vous abandonner, de laisser tomber le jeu, de laisser aller le rêve de résistance à la Vérité qui est toujours vraie à propos de vous, vous deviendrez un simple canal, un simple conduit. Vous ne deviendrez plus un chercheur, car vous aurez décidé d’avoir trouvé ce que vous cherchiez. Quand vous aurez abandonné le dernier vestige d’une possibilité insensée de vous contracter par rapport à la Vérité, quand vous aurez laisser aller cela, l’Amour se répandra à travers vous. Mais remarquez que s’il se répand à travers vous, il doit en premier couler vers vous. Ainsi, cherchez toujours à recevoir en vue de donner. Car comment pourriez-vous donner à quelqu’un, si vous n’avez pas déjà reçu cela vous-même ?

Combien parmi vous avez appris d’essayer d’aimer, d’essayer de faire « ce qui est juste », « la bonne chose ? Pourtant, combien de fois êtes vous allé dans votre chambre secrète et avez dit : « Je suis indigne » ? Ainsi vous vous demandez pourquoi vos tentatives de vous réunir en amour avec d’autres semblent être souvent très insatisfaisantes, et ne paraissent pas remplir « la coupe », ne pas obtenir la joie à laquelle vous vous attendiez ?

Ecoutez bien : votre travail – si vous souhaitez l’appeler ainsi – n’est pas de chercher et trouver l’Amour. C’est simplement de vous intérioriser pour découvrir chaque obstacle que vous avez crée à sa présence, et de l’offrir au grand dissipateur de rêves, la grâce du Saint Esprit.

Je vous ai dit à maintes reprises que le plus grand des cadeaux que vous puissiez donner est celui-ci : d’arriver à la parfaite reconnaissance que chaque tentative que vous avez fait pour résister à être la présence du Christ, a failli misérablement. Quelle que soit le nombre de fois que vous avez essayé de vous convaincre que vous étiez indigne, à chaque fois l’univers trouve une manière de vous Aimer. Le nombre de fois que vous avez essayé de vous enfermer dans un espace et un volume d’un corps, il n’a jamais réussi. Et au moment de la mort, vous vous êtes rappelé et avez été confronté au rayonnement de votre être sans limites.

Par conséquent, le plus grand des cadeaux que vous puissiez donner à quelqu’un est d’être celui qui a révoqué le besoin d’insister sur l’insanité de la peur.

LA CARACTERISTIQUE PRINCIPALE DE LA MAITRISE

L’absence de peur est la caractéristique principale de la maîtrise. La maitrise est le fait de ne pas avoir un grand pouvoir pour faire que les choses se réalisent. C’est seulement la reconnaissance que ce qui est vrai est toujours vrai et il n’y a pas d’autre choix. Le libre arbitre ne veut pas dire que vous avez le droit de croire que vous pouvez arriver à être un autre de celui que Dieu vous a crée. Avoir le libre arbitre ne veut pas dire que vous pouvez choisir de ne pas faire le chemin que la vie vous offre à chaque instant. Cela signifie que juste que vous avez le droit de le remettre à un autre jour. Et chaque fois que vous le reportez, vous dormez dans votre souffrance.

Mais quand vous choisissez de prendre le seul chemin qui compte, alors vous choisissez d’utiliser le pouvoir de votre libre arbitre pour dire :

A présent, à partir ce cet instant, je n’accepterai plus l’erreur en moi-même.

Plus de jeux, plus de rêves. Je m’engage à n’être que la présence de l’Amour,

Car ceci est la Vérité de qui je suis.

Cela ne concerne pas les opinions des autres qui résistent pourtant devant cette décision. Alors, véritablement, toutes choses au Ciel et sur Terre concourent à vous soutenir, à vous guider vers la bonne personne, le bon endroit, le bon livre, le bon lever du soleil, la bonne prairie, pour vous aider à laisser aller les chaînes des obstacles à la présence de l’Amour que vous avez crée en tant qu’idole et substitut à l’Amour.

C’est pourquoi quand vous priez vraiment du fond du cœur de votre âme : « Dieu, conduis-moi à la maison », vous pouvez être sûr, qu’à partir de cet instant il est bon de faire confiance à chaque petite chose qui se déroule. Car même si vous ne les voyez pas, ceux que vous appelez les anges – les amis qui n’ont simplement pas de corps – se pressent car vous avez donné des ordres :

Oui, j’accepte votre présence dans ma vie. Je retourne toute chose.

A présent, chaque instant est dédié à guérir et à m’éveiller

De tout sentiment illusoire de séparation d’avec Dieu que jadis je créai par erreur.

De combien de façons avez-vous cherché l’Amour ? Pouvez-vous les compter. Oseriez-vous essayer de compter chaque grain de sable sur toutes les plages de la planète ? Chaque âme a déjà essayé de chercher l’Amour de différentes façons, et bien plus. Vous avez essayé de le faire de millions de façons tout en sachant que vous ne le trouveriez pas. Tout cela parce que vous vouliez continuer la tentative insensée d’essayer d’être séparé de Dieu. Et ceci est aussi futile qu’un rayon de soleil qui essaierait d’être séparé du soleil.

En vérité, amis bien aimés, il n’y a qu’une question dont vous avez besoin de répondre :

Qu’est ce que choisi en ce moment ?

A quoi ai-je donné la maîtrise sur ma vie ? Quelle perception, quelle pensée, quel sentiment ? Le sentiment découle simplement de la pensée ou de la perception que vous avez choisie. Quel comportement, quelle action est ce que je choisis en ce moment et qui exprime la réalité de mon être ? Ai-je été occupé à étendre l’Amour, ou est-ce que je m’occupe par peur essayant de toucher ce que je pense qui peut m’amener de l’amour afin que je ne le perde pas ?

Regardez bien, ainsi, sur vos parents, vos frères et sœurs, vos partenaires, et vos amis. Pas un seul parmi eux – pas un seul d’eux – ne détient le pouvoir de vous amener l’amour. Alors, qu’est ce que vous attendez d’eux ? Pourquoi même insistez-vous dans le fait qu’un autre soit conforme à ce que vous croyez que vous avez besoin ? C’est futile – à cent pour cent, absolument, positivement futile – de chercher l’amour dans une relation avec qui que ce soit.

Par contre, c’est approprié d’étendre l’Amour en chaque relation, avec chaque être et toute chose. Mais l’extension de cet Amour demande que vous vous soyez éveillé à la vérité que la seule relation qui a vraiment de la valeur est la relation entre vous en tant qu’âme et Dieu en tant que votre Créateur.

Imaginez une ampoule dans une de vos lampes, qui chercherait à partir de ses petits filaments et dirait : « Bien, j’espère que la personne qui vient juste d’entrer est la bonne. Si seulement je pouvais aller lui dire, peut être que ma propre lumière s’allumerait. »

Ne serait-il pas plus simple de prendre simplement le fil et le brancher dans la bonne prise ? Combien de fois allez-vous insister à essayer de brancher votre fil dans la mauvaise prise ? « OK, celle-là n’a pas marché Je vais essayer ce corps ; je vais essayer cette personne. Je vais essayer cette profession. Sans obtenir beaucoup de courant ». Et alors vous vous mettez en colère parce que cela ne vous donne pas assez de courant, ou qu’il vous a donné suffisamment de courant hier, mais pas aujourd’hui, ainsi cela doit être sa faute.

Il y a une petite prise à laquelle vous pouvez brancher votre fil. C’est la seule qui convient et c’est la seule prise branchée qui puisse vous amener les eaux vivantes de grâce. Cette prise se trouve seulement à l’intérieur de votre cœur. Non pas le cœur physique, mais celui qui est symbolisé par le cœur physique : le noyau de votre être même. Mais combien de fois par jour vérifiez-vous que le fil est toujours branché ? Combien de fois vous rappelez-vous de vous demander :

Est-ce mon engagement à l’Amour ou mon engagement à la peur ?

La peur est l’acte de déconnecter votre fil de la seule prise qui peut vraiment vous satisfaire, et de courir en essayant de se brancher à quelqu’un ou quelque chose. Je vous demanderai de considérer cette seule question, en observant l’ensemble de votre expérience : Est-ce que cela a-t-il jamais marché ? Peut-il jamais marcher ?

Imaginez essayant de bloquer l’eau qui coule dans la paume de votre main en fermant les doigts ensemble. Combien vous reste t-il ? N’est-ce pas qu’elle coule à travers vos doigts, quoique vous essayez de faire ? Elle trouve les petits trous et s’en va. Vous ouvrez votre main et il n’y a même pas assez pour mouiller votre langue.

Pourtant, chaque fois que vous avez regardé quelqu’un – que ce soit un parent, un frère, un ami ou un partenaire, professeur ou n’importe quelle personne physique ou objet – et avez essayé de brancher le fil dans cette prise pour obtenir le courant que vous croyiez vous aviez besoin, c’est en fait ce que vous faites. Et vous finissez littéralement en tordant la vie de la relation elle-même.

Quand vous cherchez en premier le Royaume et branchez le fil dans la prise à l’intérieur de votre cœur, quand vous vous rappelez que vous et votre Père êtes un, cet unique Amour est réel, et rien d’autre compte, vous allez vous rappeler que la tentative de trouver l’Amour en dehors de votre Soi n’est rien d’autre que l’écho d’une vieille habitude. Et cette habitude ne peut pas vivre à moins que vous la nourrissiez.

Ainsi, nourrissez seulement la seule habitude qui compte : l’habitude de se rappeler que la Vérité est toujours vraie, quelque soit ce qui se produit devant vos yeux physiques et votre esprit. Dans toutes les allées et venues, en toutes les morts et naissances, dans tous les passages d’un univers à un autre, au milieu d’un pneu crevé ou d’un tempête soudaine, rien – rien – n’a de la valeur qu’à l’exception de votre relation avec votre Créateur.

Lorsque vous avez expérimenté dans une relation avec quelqu’un ou quelque chose un instant de grâce, un instant de paix qui dépasse tout entendement, un instant de plénitude si doux et sublime qu’aucun mot ne peut le décrire, ce que vous avez expérimenté n’est simplement que le flot de l’Amour de Dieu à travers vous. Cette personne ou chose ne l’a pas causé. Il fut causé parce que, pendant un instant, vous êtes sorti de votre drame, vous êtes sorti de votre rêve, et avez permis à la Vérité d’être vécue.

Ainsi, bien entendu, vous vous êtes mépris dans la croyance : « Dieu, c’était si doux ! C’était la plus belle chose que j’ai jamais goûtée. Cela doit venir de toi. Viens par ici ! J’ai besoin de toi ! » Si jamais vous croyez avoir besoin de quelqu’un ou quelque chose, soyez certains, à cet instant là vous délirez.

TOUT CE DONT VOUS AVEZ BESOIN EST L’AMOUR

Tout ce dont vous avez besoin est l’Amour. L’amour remplit toute chose. L’amour embrasse toute chose. L’amour guérit toute chose. L’amour transforme toute chose. Par conséquent, rappelez-vous bien : vous, et rien que vous, peut devenir la cause de votre réalisation, votre paix, et votre accomplissement du temps. Ceci demande que vous ne fassiez rien d’autre que d’établir la connexion avec votre Créateur.

N’est ce pas vrai que tout ce que vous désirez le plus est l’Amour ? N’est ce pas vrai que vous espérez que chaque relation - quelle que soit sa durée, quelle que soit sa forme – que chaque jour, que chaque action vous permette d’expérimenter la paix ? N’est ce pas vrai que vous, qui êtes temporairement dans un corps dans le temps, n’est ce pas vraie que la plus grandiose des expériences que vous ayez jamais connu a été celle où toutes les cellules du corps vibraient avec l’Amour, avec un émerveillement sublime et une paix ? Acceptez cette vérité, que ce que vous désirez au-delà de toute chose est de vitre l’expérience vivante de l’Amour.

Ensuite rappelez-vous de ceci :

Rien de ce que vous faites ne peut vous apporter l’Amour.

Rien de ce que vous faites ne peut vous préserver l’Amour

Dans une forme de votre choix.

Rien de ce que vous faites – rien de ce que vous faites – ne peut

Faire apparaître l’Amour dans la forme de votre choix.

Laissez aller le drame, laissez allez le rêve, et choisissez de vous rappeler la vérité qui est toujours vraie. Retournez au Royaume à l’intérieur de vous, même antérieur à chaque souffle. Rappelez-vous et dites à votre Créateur :

Je veux seulement ce qui est toujours vrai.

L’amour est ce que je veux. L’amour est ce que je suis.

L’amour est ce que je reçois. L’amour est qui je suis.

Moi et mon Père sommes un.

Ici et seulement ici vous découvrez ce que vous cherchez. Alors, vous devenez libre de marcher sur cette Terre, d’être dans le monde, mais pas du tout de ce monde. Et bien que vos amis vous regarderont et verront un homme ou une femme qui semble agir comme eux, pourtant bien qu’ils ne le voient pas, le Christ demeure en eux. Ils ne savent pas très bien ce qu’il en est. C’est la forme de votre corps ou le rayonnement de vos yeux ? Ce ne sont pas ces choses là. Ils ressentent la qualité de l’Amour.

Pouvez-vous imaginer de marcher sur cette Terre et malgré où que vous soyez, ressentir comme si chaque nuage et chaque brin d’herbe et toutes les bonnes choses au Ciel et Terre existaient déjà en vous, à l’intérieur de la sphère de votre contenu ? Pouvez-vous imaginer marcher sur cette Terre et ressentir la lumière de la plus lointaine des étoiles qui brille dans la nuit et qui est déjà en vous, et que l’ensemble de la création était contenu dans les paumes de vos mains ? Y aurait-il de l’espace pour vous convaincre qu’il y a quelque chose qui vous manque, quelque chose dont vous ayez besoin, et que l’insatisfaction que vous ressentez doit être vraie ?

En vérité, vous êtes comme celui a qui on a donné un trésor parfait, un joyau inestimable. Vous l’avez placé dans votre poche et vous avez oublié que vous l’aviez. Ainsi vous courez après tout le monde essayant de voir dans la poche de chacun. Vous avez essayé de séduire quelques uns pour qu’ils s’abandonnent afin de vous emparer de leurs vêtements, et ainsi, essayer de posséder le joyau que vous espérez se trouve dans leur poche. Mais la grande vérité est que vous ne pouvez posséder l’Amour qu’à moins d’être libre. Vous ne pouvez rentrer dans une relation divine avec quelqu’un ou quelque chose que si vous laissez tomber toute trace du besoin de posséder.

Quand votre seul désir est l’Amour, vous serez prêt à libérer chacun, à soutenir il ou elle dans leur propre chemin, quel qu’il soit ou ce qu’il implique. Pourtant, vous n’entendrez jamais votre hésitation sur l’Amour.

Si un soupçon de tristesse surgit parce que vous reconnaissez que deux corps dans l’espace vont à présent se séparer en différents endroits de la planète, et quand cette tristesse survient, vous allez reconnaitre que c’est l’effet d’une perception erronée. Vous allez aller à l’intérieur de vous, dans un lieu où tous les esprits sont réunis. Vous allez vous rappeler que votre réalisation ne tient pas au fait de gagner l’amour de quelqu’un, mais à donner l’Amour à tout être.

Si, vraiment, vous connaissiez la Vérité qui vous libère, suivez chaque mot qui est partagé. Si vous pouviez goûter au doux nectar de la parfaite liberté, d’être engagé à remplacer chaque perception erronée que vous avez jamais eue ou chaque pensée que vous avez eue sur quelqu’un ou quelque chose. Mettez de côté ces choses là et engagez à mettre toute votre énergie à la simple Vérité, mais la pratique vigilante – antérieure à chaque souffle :

Je vis – pourtant ce n’est pas moi – mais le Christ qui vit en moi.

Ainsi, je m’abandonne à la Vérité

Qui est toujours vraie. Ma réalisation vient seulement du fait

De permettre que le Christ soit donné au monde.

Le Vérité est très simple. Elle n’est pas complexe du tout. Quittez la route, et laissez l’Amour vivre à travers vous. Et ainsi soudainement vous saurez que, vraiment, l’on vous donne toute bonne chose éternellement. Vous saurez que la grâce est la réalité. Vous saurez que la facilité est la manière de vivre dans le Royaume.

Mais la facilité ne veut pas dire que vous ne ressentez rien, car vous êtes dans une dimension de sentiment. La facilité ne veut pas dire que vous ne découvrez pas comment approfondir votre capacité d’être l’incarnation vivante de l’Amour. Cela ne veut pas dire que vous ne prenez pas le défi d’apprendre à exprimer l’Amour d’une manière qui puisse être entendue par quelqu’un d’autre. La facilité signifie simplement que vous abandonnez la résistance à ce que l’Amour demande à chaque instant.

La facilité est la voie du Royaume. Dans le monde, la facilité signifie que vous abaissez le mur que vous avez construit entre vous et toute la création. Vous ne résistez plus à l’expérience vécue de la relation, quelle qu’elle soit – la relation avec un nuage, la relation avec une autre personne, la relation avec une chien ou un chat, la relation avec le 15 Avril quand vous écrivez un chèque pour payer vos impôts. Pourquoi ne pas l’envelopper dans un papier cadeau et des rubans et l’envoyer avec beaucoup d’Amour ?

Quand vous avez appris à abattre les barrières ou les murs entre vous-même et qui que ce soit ou quoi que ce soit devant vous, quand vous ouvrez la porte de vos chakras – les centres énergétiques du corps – et permettre simplement de permettre à l’Amour d’être vécu à travers vous, quand vous regardez quelqu’un, une autre situation ou quelque chose et réalisez que rien dans ce monde n’a le pouvoir de vous blesser et n’a le pouvoir de vous prendre quelque chose, alors vous êtes libre. Si vous vous rappelez d’étendre l’Amour, alors vous êtes libre ! Vous avez transcendé la naissance et la mort. Le chercheur n’est rien d’autre ni un autre que le Christ qui marche sur Terre.

LE SENTIMENT EST LA PORTE VERS L’AMOUR ET LA LIBERTE

Si votre engagement consiste vraiment, à voir à l’intérieur et découvrir chaque obstacle que vous avez jamais crée à la présence de l’Amour, pourquoi résistez-vous à ressentir ces choses là ? Car il vous a bien a été dit, de l’autre côté se trouve l’Amour même que vous cherchez.

Ne niez pas le rôle du sentiment dans cette dimension, car le sentiment est tout ! Vous ne pouvez même pas connaitre la présence de Dieu à moins de la ressentir. Vous ne pouvez penser à propos de la présence de Dieu. Vous ne pouvez pas insister sur une croyance à propos de la présence de Dieu. Cela ne marche pas ; cela ne remplit pas votre tasse. Le sentiment remplit votre tasse. Le sentiment –débridé, débloqué, un sentiment sans obstruction – est la porte à cet Amour qui vous rend libre !

Par conséquent, quand vous dites : « Je ne veux pas ressentir ceci, », soyez sûrs que vous êtes en fait en train de dire : « Oui, la porte vers le Royaume des Cieux est juste en face de moi, mais si vous pensez que je vais l’ouvrir, vous êtes fou ! Ce n’est pas bon, de toutes façons. Ce qui est bon est de se protéger du substitut que j’ai crée ».

J’ai appelé ceci l’ego, le faux soi, ce que je vous ai une fois décrit comme un mince appel à l’espace, « C’est ce à quoi je me suis engagé. Et je vais protéger ceci. Allez-vous abandonner le Royaume pour protéger ce petit moucheron inutile ? Oh oui, Vous feriez mieux de croire que je vais faire ce sacrifice ! Qu’est ce que le Ciel en fait ? Un bouquet d’amour, un groupe de gens courant dans l’extase, certains sans corps, s’affichant dans l’illimité, le sans peur, et la réalisation parfaite. Qui en a besoin ? Oh, cette petite chose, cette petite chose de moi. Oh, je vais faire qu’elle brille ! »

Combien de fois avez-vous essayé de faire briller ce petit moucheron ? Par exemple : « Chacun le remarque, il brille. S’il vous plait, remarquez comment je suis grand. Je fais briller mon petit moucheron. Ecoutez mon râle et ma complainte, et ma lamentation, la grande tristesse. Oh ! Qu’il est grand m on petit moucheron !

Pendant ce temps, l’Amour de Dieu se répand à travers une multitude d’univers et crée à jamais – même de nouveaux univers. Et l’Amour de Dieu ne s’aperçoit même pas du petit moucheron. Personne ne fait attention. Vos amis autour de vous ne veulent pas y faire attention, bien que parfois vous les écorchiez et qu’ils n’ont pas d’autre choix. Mais ceux parmi nous sans corps, pensez-vous qu’en ce moment nous gaspillons notre précieuse éternité en essayant de faire que le petit moucheron brille sérieusement ? Vraiment, c’est parce que nous vous aimons, nous vous donnons l’espace, et nous honorons votre libre arbitre pour être aussi petits et misérables que vous le souhaitez.

Nous attendrons jusqu’à ce que vous choisissiez de venir une nouvelle fois dans la grandeur où vous résidez véritablement. Nous ne vous retirons pas notre Amour. Simplement nous observons à travers votre histoire du temps parce que ce que nous voulons est l’Amour du Christ qui demeure en vous.

Quand sera le jour et l’heure où vous déciderez de vous aimer vous-même de même que Dieu vous a aimé en premier ? De décider une fois pour toutes de vraiment – vraiment, prendre la décision de vivre ! Car tant que vous n’aurez pas décidé de vivre avec, et pour, et à jamais dans l’Esprit du Christ, la vie n’a pas encore commencé !

Au même instant l’esprit réagit : « Oh mon Dieu ! c’est un sacré coup, n’este ce pas ? Regardez Jeshua toutes les expériences que j’ai eues. Comment pouvez-vous me dire que je n’ai pas vécu ? Pourquoi, y a-t-il eu ce drame, et cet autre, et ensuite un autre drame encore. Te souviens-tu il y a dix sept vies quand j’ai fait ceci et ensuite cela ? Je me suis battu à travers cette vie la, et encore une autre vie. J’ai vécu ».

Non, vous avez rêvé.

Vous vous réveillez le matin et réalisez que vous avez eu une nuit pleine de rêves où vous receviez des rubans et des trophées, et qu’avez-vous reçu du monde ? Et vous dites alors : « Cela avait l’air bien réel. Les trophées doivent être placés sur ma table de cuisine ». Pendant que vous rêviez, cela paraissait suffisamment réel. Et c’est de cette qualité que je parle ici. Si vous souhaitez prendre ceci comme un affront, je suis d’accord. Cela ne dérangera en rien ma paix.

Jusqu’à ce que vous décidiez parfaitement de revenir à la vie en tant que présence du Christ, en tant que présence de l’Amour, et de vous approprier chaque instant de votre expérience en tant qu’être pleinement auto-crée, il n’y a pas d’autre raison que celle que vous avez choisi à partir de la parfaite et infinie liberté de votre être illimité, la vie n’a pas encore commencé. Quand vous regardez sur toute chose sans jugement à travers les yeux du pardon, quand vous décidez de n’incarner que la réalité de l’Amour quel que soit ce que les gens font, c’est là que la vie commence !

Jusqu’à ce jour de votre calendrier, il n’y a eu qu’une poignée d’êtres qui ont vraiment vécu la vie sur ce plan, une très petite poignée. Il y plusieurs parmi nous qui seraient absolument ravis si vous rejoignez le club !

Je vais vous dire un petit secret : tant que vous ne l’aurez pas fait, vous n’obtiendrez pas le diplôme. Vous ne quitterez jamais ce plan, rempli de conflit et souffrance, tel que cela semble être, jusqu’à ce que ayez vécu l’expérience de marcher sur cette Terre en tant que la pensée de l’Amour dans la forme, avec aucune autre demande, rien que celle d’Aimer. Vous ne quitterez jamais ce plan. Vous ne prendrez jamais votre croix pour me suivre. Vous allez tourner encore, et encore et encore, pour être confronté au même besoin de décider pleinement l’Amour.

Vous regarderez finalement vers le ciel et direz : « Père, finissons en avec cela. Suffisamment de temps a été perdu. C’est parti, d’accord, ce n’est pas important. Maintenant ! Je m’engage à Aimer. Amène-moi tout type d’expérience afin de me sortir de la profondeur – les endroits où j’ai caché cela en moi – chaque obstacle qui ait besoin d’être dissout par la lumière de la grâce du parfait Amour.

« Et je ferai tout ce qu’il est possible de faire, de mon côté de la barrière, pour ouvrir ces lieux, pour ressentir ces lieux, pour embrasser ces lieux, pour aimer ces lieux, pour déclarer ces lieux comme étant pleinement auto-crées. Je laisserai mes parents tranquilles. Je laisserai mes frères et sœurs tranquilles. Je laisserai mon arrière-arrière grand-mère tranquille. Je laisserai Adam et Eve tranquille. Je laisserai le gouvernement tranquille. Et je m’aimerai moi-même suffisamment pour guérir ma séparation d’avec Dieu.

Je serai suffisamment humble pour reconnaitre que si je fais une expérience – parce que je sais je me suis engagé à guérir – alors vous avez vraiment, Père précieux, amené à moi tout bonne chose. Ainsi cet instant de l’expérience peut être vu à travers les yeux qui reconnaissent que ce n’est qu’une marche vers la paix parfaite que je recherche.

« Ma vie n’est plus mienne, car je ne sais pas comment corriger l’erreur unique et fondamentale. Mais je peux m’abandonner dans ce sentiment qu’à chaque instant je choisis pleinement de toute façon l’Amour. Et l’Amour va dissoudre ma souffrance que j’ai traînée partout car j’ai insisté à essayer de me séparer de la Source de mon être. Ce petit moucheron qui est mien je le mets au repos. Car la seule chose qui puisse briller est le Christ ».

Car le Christ – les fils et filles de Dieu, les enfants de Dieu – est la seule création de Dieu. Le reste de ceci est attribué à vous. Même l’espace et le temps sont vôtres. La seule création de votre Créateur est vous, la vérité de vous. Car vous êtes Amour, et Dieu ne crée que qui est semblable à Lui. Et Dieu n’est qu’Amour.

Plusieurs parmi vous croyez être sur un chemin spirituel ; Vous saurez si ceci est vrai à travers votre bonne volonté de ressentir et expérimenter pleinement exactement ce qui est en face de vous, d’instant en instant. Ainsi si vous avez un conflit avec quelqu’un et vous vous asseyez sur votre chaise et décidez de prier ou méditer afin de modifier cet état de ressenti à l’intérieur de vous, et que vous vous levez après en disant : « Voilà, je me sens bien mieux maintenant ». Mais le problème n’a pas été réglé avec l’autre, rien n’a changé.

Allez, ainsi, voir cet autre. Ouvrez lui votre cœur, partagez et trouvez la solution. Si vous avez offensé quelqu’un, demandez lui de vous pardonner. Si vous avez jugé quelqu’un, reconnaissez le. Demandez lui de vous pardonner. Ce n’est que de cette façon que vous pouvez vraiment guérir le lieu de conflit à l’intérieur de vous.

Amis bien aimés, l’essence de cette leçon est assez simple : Où en êtes-vous maintenant ? Etes-vous prêts à vous permettre de voir chaque chose autour de vous et en vous en tant que la porte vers le Royaume des Cieux, attendant seulement pour vous d’accueillir sa présence et de s’ouvrir à elle ? Etes-vous prêts à être véritablement là où vous êtes – pleinement, là où vous êtes ? Et le mental dit : « Bien, bien sûr ». Je suis sur un chemin spirituel ». Rassurez-vous, si vous regardez bien dans vos sentiments et trouvez une quelconque trace de résistance, vous n’avez pas encore pris l’engagement nécessaire qui vous donne le pouvoir d’ouvrir cette porte.

SEULEMENT A TRAVERS LE SENTIMENT QUE L’ON S’EVEILLE

Le sentiment est le message de cette leçon. Car ce n’est qu’à travers le sentiment que vous vous éveillez véritablement. Les concepts et les idées peuvent commencer à diriger l’esprit pour croire qu’il y a quelque chose là dehors qui est attractif et qui peut être même meilleur que ce que vous aviez fait auparavant. Mais les concepts et idées en eux-mêmes, n’ouvrent pas la porte. Ce sont des symboles, et c’est tout. Un symbole ne peut étancher votre soif. Ce n’est qu’au niveau du véritable sentiment que vous pouvez une nouvelle fois connaitre la présence de Dieu qui demeure en vous, autour de vous et à travers vous, même maintenant.

Ressentez ce que vous avez crée en tant que substitut à la vérité. Faites-le vôtre, observez-le, et ensuite laissez-le aller. Apprenez que quel que soit le choix que vous avez fait par le passé, une fois que vous l’avez embrassé, une fois que vous l’avez ressenti, vous restez parfaitement innocent et imprégné par le pouvoir de choisir à nouveau de ressentir, d’apprendre une nouvelle fois à ressentir la chaleur glorieuse qui imprègne le Royaume des Cieux.

Rien de ce que vous faites dans le temps ne peut avoir l’importance de ce que nous avons partagé dans cette leçon. Rien de ce que vous faites dans le temps ne vaut l’incroyable cadeau qui vous attend. Ainsi, utilisez le temps de manière constructive en décidant d’aimer, et que l’Amour vous enseigne par lui-même. En effet, amis bien aimés et divins, quand vous aurez fait ceci, vous vous trouverez transposés dans une forme qui ne pourra jamais être contenue par l’espace et le volume d’un corps physique.

Vous regarderez toute cette dimension comme un simple outil d’apprentissage temporaire. Vous le mettrez de côté, de même qu’un enfant met de côté un jouet qui n’est plus de son âge. Mais vous le ferez avec une profonde appréciation et amour pour le jouet avec lequel vous avez joué pendant si longtemps. Vous éprouverez un profond sentiment de gratitude pour toute chose que cette dimension physique vous a apporté.

Il n’y aura pas un atome d’êtreté en vous qui éprouvera un quelconque ressentiment, aucune nostalgie, aucune colère, ou aucun remord pour quoique ce soit. Toute votre expérience sera devenue totalement acceptable pour vous. Car c’est à travers une telle expérience que finalement vous n’avez voulu que la Vérité.

A partir de ce jour vous ne serez jamais à nouveau capable de vous convaincre que toutes vos tentatives pour rester distrait ou conforme au monde accomplissent vraiment quelque chose. Vous allez trouver que votre esprit commence à pénétrer les habitudes inconscientes que vous avez crée en essayant de vous cacher de ce qui pourtant doit être ressenti. Vous saurez parfaitement quand vous vous méprenez vous-même. Vous allez commencer à sourire et dire : « Oh, oui, voilà encore que je reviens dessus. Sans doute qu’il serait bon de mettre ceci de côté. Et de mettre mon pied fermement sur le sol et, vraiment, vivre avec passion à partir de la Vérité du Royaume des Cieux ».

Dans la Voie du Cœur, nous allons parler de plus en plus clairement et avec plus de force. Car le temps vient rapidement quand cette planète ne voudra plus tolérer des invités désordonnés qui ne sont pas prêts à vouloir vibrer à la fréquence de l’être , vers laquelle la planète se prépare elle-même à y aller. Ainsi, ne soyez pas pris par surprise en rentrant un jour à la maison et découvrir que le propriétaire a changé les serrures et que vous n’avez pas de lieu pour reposer votre tête.

A la place, devenez l’incarnation vivante de l’Amour et faites le voyage avec votre Mère Divine dans une nouvelle dimension de l’être totalement nouvelle. Et n’oubliez jamais de chanter, rire, danser et jouer de la musique le long du chemin.

Ainsi, soyez en paix, amis bien aimés. Amen.


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Cette page, mise en ligne le 26-12-2008, a été consultée par 618 visiteurs
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