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Je propose dans la catégorie : spiritualité
Pièce jointe: Journey Beyond Words LA MALADIE P.150.doc
annonce déposée le : 13-12-2008
Par : avi
La maladie, par Jeshua
Bonjour,

Voici un texte de Jeshua, tiré du livre “Journey Beyond Words” (Voyage au-delà des mots), de Brent Haskell.
Ce texte a été traduit
de l’anglais fort à propos par Sylvain du Boullay. Merci pour ton œuvre, Sylvain!
Je trouve ce texte très parlant sur la manière dont nous créons littéralement notre "réalité", notre corps, la maladie, et la mort.

Il nous enseigne une vision de la maladie selon le livre « Un Cours en Miracles », également de Jeshua.

Pour ceux qui s'y intéressent, il existe sur Internet une version française gratuite du Cours en Miracles, traduite en janvier 2008, et téléchargeable au format Acrobat Reader (pdf). Celle-ci est nommée URTEXT. Elle est le texte orignal du Cours, et ne correspond pas exactement à la version "officielle" du livre vendu, quoique assez similaire.

Ce texte nous parle de la maladie comme la manifestation de la "valeur" que nous accordons à notre corps.

"Lorsque vous voyez votre corps en croyant qu’il est réel,
Vous lui donnez obligatoirement de la valeur. "
Selon Jeshua, le fait de nous identifier au corps, ou au monde en général, génère en nous un conflit:
"Lorsque vous percevez que votre corps est, totalement ou partiellement, CE QUE VOUS ÊTES, c’est que vous vous êtes identifié à votre corps. Le fait d’avoir fait cela implique OBLIGATOIREMENT que vous lui avez donné de la valeur. Et vous devez OBLIGATOIREMENT créer un conflit."
Comme nous ne sommes pas notre corps, et que la partie élevée de nous-même, notre Soi, le sait, il y a conflit.
Et la seule solution au conflit consiste à revenir à la seule Vérité qui soit: Nous ne sommes pas séparés de notre Source, et donc, ne sommes pas le corps :

"Ce conflit se produit parce que vous êtes l’Unique Soi. Votre Soi Unique sait que vous n’êtes pas un corps. Cela met votre esprit pensant en désaccord avec la vérité de ce que vous êtes. Et cela produit un conflit provenant de votre seul problème qui, vous vous en souvenez, est la séparation."
Sans la croyance en la séparation, et la valeur donnée au corps, il n'y a pas de mort :
"La mort est en effet le résultat, sous une forme ou sous une autre, de votre séparation et de votre peur.
[...] Et vous pensez que le cycle par lequel le corps passe est le cycle par lequel VOUS passez. "
Cette vision de la seule Réalité qui soit demande une volonté déterminée à "changer de lunettes", dont le processus est présenté en profondeur dans le Cours en Miracles, et les autres enseignements non duels de Jeshua :
"Le seul véritable remède à votre maladie, le seul véritable remède aux problèmes de ce monde, est votre pardon.
Et votre pardon revient à réaliser que rien de ce monde n’a de valeur. C’est dans cette réalisation que vous devenez libre."

"Nous ne sommes pas des être humains vivant une expérience spirituelle,
Mais des êtres spirituels vivant une expérience humaine" - Neale Donald Walsch

Lisez et relisez. Ce texte est comme un médicament, une cure, une déprogrammation de nos croyances les plus profondes!

Texte joint au format Word
Bonne Lecture
Avec Amour

Avi

Utilisez toujours votre discernement par rapport à ces textes.
Vous avez un Libre Arbitre, alors utilisez le!


LA MALADIE

Je vous salue de nouveau. Je suis Jeshua.

Je suis venu aujourd’hui pour poursuivre avec vous
Mes propos au sujet d’ « Un Cours en Miracles ».

La dernière fois, nous avons parlé du fait d’accorder de la valeur.
Et nous avons vu pourquoi, lorsque vous donnez de la valeur à quelque chose,
Vous voyez ce quelque chose comme une partie nécessaire à votre existence.
Et finalement, vous le voyez comme partie de ce que vous êtes.
Il s’ensuit que vous voyez son absence comme partie de votre propre mort.
Si bien que le fait de donner de la valeur à quoi que ce soit de cette Terre,
A quoi que ce soit de n’importe quel univers,
Est un désir de mourir.
Car tout dans le temps et l’espace disparaîtra.
Et vous voyez obligatoirement cette disparition comme votre propre mort.

L’un des premiers exemples de la valeur que vous accordez
Dans ce monde d’illusion
Est votre propre maladie.
La leçon dit :
« La maladie est une défense contre la vérité. » (L. 136)
Et c’est tout à fait exact.

Comme je vous l’ai dit à maintes et maintes reprises,
Vous êtes Esprit.
Vous êtes libre.
Vous êtes exactement tel que Dieu vous a créé,
C’est-à-dire non encombré, non confiné
Et entièrement libre d’être tout ce que vous pouvez imaginer.

Il semble toujours que la maladie
Est quelque chose qui vous arrive.
Mais je vous ai dit que rien ne vous arrive
Sans que vous ne l’ayez choisi,
Sans que cela soit l’expression de ce que vous désirez
Et de ce que vous voulez.
Cela peut vraiment sembler frustrant
Que quelqu’un vous dise tout de go
Que votre maladie, votre douleur et votre lutte
Est quelque chose que vous avez choisi
Et que vous voulez.
Cela semble particulièrement frustrant car, dans vos pensées,
La maladie est quelque chose que vous méprisez et dont vous ne voulez pas,
Surtout lorsque cela vous apporte souffrances et limitations.

Alors comment la maladie surgit-elle ?
Tout d’abord, lorsque vous avez des pensées
Autres que la vérité de ce que vous êtes,
Vous générez un conflit.
Par ailleurs, vous ne pouvez voir l’illusion
Sans que vous donniez de la valeur à ce que vous pensez voir.
Lorsque vous voyez votre corps en croyant qu’il est réel,
Vous lui donnez obligatoirement de la valeur.

En effet, la leçon dit : « la perception est absolument cohérente. »
La perception reflète votre pensée.
Et votre pensée ne reflète que ce à quoi vous donnez de la valeur.
Vous ne pouvez voir un monde auquel vous n’avez pas donné de valeur. (24)
Et c’est vrai.

Sachez qu’il est totalement possible d’être sur Terre
En ayant apparemment la forme d’un corps,
Mais sans lui donner de valeur.
Dans cet état vous êtes libre.
Dans cet état vous ne faites pas l’expérience de la maladie.

En effet, puisque vous ne donnez pas de valeur,
Vous ne vous défendez pas.
Et puisque vous ne vous défendez pas,
Il ne peut y avoir d’attaque.
Le fait de ne rien défendre implique bien des choses,
Y compris, comme je l’ai dit dans la leçon,
Ne pas même planifier ce que vous ferez dans une heure
Ou dans une minute.
Cela semble quelque peu absolu
Pour ceux d’entre vous qui sont immergés dans l’illusion.
Cela semble vraiment très difficile.
Mais en fait, ce n’est pas aussi difficile que vous le pensez,
Lorsque vous ajustez votre perception
Et que vous allez dans la direction de la vérité même.

Si bien que, finalement, votre maladie doit OBLIGATOIREMENT
Etre une déclaration intérieure disant que vous avez donné de la valeur à votre corps.
Lorsque vous percevez que votre corps est,
Totalement ou partiellement,
CE QUE VOUS ÊTES,
C’est que vous vous êtes identifié à votre corps.
Le fait d’avoir fait cela implique OBLIGATOIREMENT
que vous lui avez donné de la valeur.
Et vous devez OBLIGATOIREMENT créer un conflit.


Ce conflit se produit parce que vous êtes l’Unique Soi.
Votre Soi Unique sait que vous n’êtes pas un corps.
Cela met votre esprit pensant en désaccord
Avec la vérité de ce que vous êtes.
Et cela produit un conflit
Provenant de votre seul problème
Qui, vous vous en souvenez, est la séparation.

Lorsque vous percevez que votre corps est réel d’une manière ou d’une autre,
Vous lui donnez de la valeur
Et vous craindrez son absence ou son altération.

Lorsque vous avez peur,
Vous créez toutes sortes de ravages dans votre univers.
En effet, quand vous craigniez que votre corps ne vous quitte,
Qu’il puisse changer
Ou que LUI puisse faire quelque chose de différent de ce que VOUS voulez,
Vous commencez à avoir l’impression d’être victime de ce corps.
Et dans cette attribution de valeur, dans cette peur,
VOUS CRÉEZ VOTRE PROPRE MORT.
La mort est en effet le résultat, sous une forme ou sous une autre,
De votre séparation et de votre peur.


Si bien que, à partir de votre propre pouvoir créateur,
Vous avez structuré un monde dans lequel
Il SEMBLE y avoir des corps qui vont et viennent,
Mais ceux-ci sont simplement des ombres de la séparation.
Vous semblez avoir structuré un monde
Dans lequel ces corps naissent, vivent un moment, vieillissent et puis meurent,
Et vous pensez que le cycle par lequel le corps passe
Est le cycle par lequel VOUS passez.


Ce n’est pas vrai.
Car vous êtes le Fils de Dieu.
Vous êtes Esprit.
Et vous, comme Dieu, vous êtes immuable, vous êtes à jamais
Et vous êtes invulnérable.

Il est possible que cela vous semble du même genre que tant de propos creux.
Il est sûr que cela puisse sembler comme un prêche
Lorsque je semble dire tout de go
Que tout dans votre maladie n’est que votre choix,
Que tout dans votre maladie n’est que votre peur.
Abandonnez votre peur et vous irez bien.
Je sais combien cela peut être frustrant
Lorsqu’il semble que vous vouliez abandonner votre peur
Et que, d’une certaine manière, elle ne s’en va pas.

C’est pourquoi je suis venu dans l’amour pour vous parler aujourd’hui.
Je suis venu pour partager avec vous la façon dont
Vous pourriez approcher avec davantage de paix votre propre maladie,
Votre propre corps, et même sa mort,
Si vous choisissez que cela arrive.
Et il est plus que vraisemblable que vous le choisirez.
Très peu d’entre vous choisissent de ne pas mourir physiquement.
Rappelez-vous que le monde que vous voyez est un reflet,
Seulement un reflet de ce qui est à l’intérieur de vous.
Les mondes intérieur et extérieur ne sont pas en corrélation complète.
Et qui plus est, la corrélation ne fonctionne pas dans les deux sens.
Il est vrai que ce que vous voyez dans votre monde extérieur,
Y compris votre corps,
Est un reflet de votre monde intérieur.
Mais ce n’est qu’un reflet.
Cela parce que le monde physique ne peut en aucun cas représenter
Ce que vous êtes en Esprit, à savoir le Fils de Dieu.

Toutes les fois que vous semblez expérimenter le chagrin, la douleur,
La perte, la fatigue, la maladie ou la mort,
Cela reflète seulement ce qui est à l’intérieur
Et ce qui n’est vraiment que votre pensée.

Cependant, cela ne veut pas dire
Que, lorsque vous semblez ne pas avoir de maladie,
Votre esprit soit sans conflit.
Certains parmi vous ont choisi de venir ici-bas
Et de ne pas faire l’expérience de la maladie,
Mais de vivre simplement une vie sans souffrance physique jusqu’à ce qu’ils meurent.
Et même leur mort peut être exempte de souffrance.
C’est simplement leur choix.

Certains d’entre vous sont venus ici-bas et ont choisi une vie de maladie.
Ils se battent avec une apparence de souffrance persistante.
Cela aussi n’est rien de plus que leur choix.
Chacun de ces deux choix n'est ni bien ni mal.
Et l’un n’est ni meilleur ni plus mauvais que l’autre.
Si bien que si vous êtes malade, ne pensez pas que vous avez tort.
Réalisez simplement que c’est ce que vous avez choisi.

Généralement, votre maladie reflète effectivement un poison intérieur.
Mais votre santé ne reflète pas un bien.
Et votre santé ne reflète pas
L’absence de ce même poison intérieur.

Entendez-moi bien.
Lorsque dans votre désir de ne pas être malade
Vous attribuez une valeur positive et désirable à votre corps
Et au fait qu’il soit exempt de symptômes,
Vous ne vous focalisez pas sur ce que vous ÊTES réellement.
Vous êtes encore focalisé sur le corps.
Et ce corps reste la source de votre conflit,
De votre séparation et de votre souffrance.

Si bien que j’ai dit dans la leçon
« Du salut seulement il peut être dit qu’il guérit. » (L. 140)
Si vous avez choisi un symptôme, quel que mineur qu’il soit,
Et si vous choisissez d’utiliser le pouvoir de votre pensée
(Et il est vraiment puissant)
Pour faire disparaître ce symptôme,
Vous vivez encore intérieurement ce monde d’illusion en lui donnant de la valeur.
Et vous n’êtes toujours pas libre de votre conflit.
Vous semblez seulement être libre si, de manière totalement incorrecte,
Vous assimilez l’absence de maladie à la présence de la vérité à l’intérieur.
Si bien qu’en vous occupant de votre maladie,
Faites attention à ne pas essayer de vous libérer seulement de vos SYMPTOMES,
Car cela ne fait que vous maintenir dans ce monde d’illusion.

Le seul véritable remède à votre maladie,
Le seul véritable remède aux problèmes de ce monde,
Est votre pardon.
Et votre pardon revient à réaliser
Que rien de ce monde n’a de valeur.
C’est dans cette réalisation que vous devenez libre.


Ce devrait être clair à présent.
Si vous donnez de la valeur à quelque chose,
Alors vous verrez ce à quoi vous donnez de la valeur.
Et ce à quoi vous donnez de la valeur, vous l’assimilez automatiquement à vous-même.
C’est là simplement ce que signifie donner de la valeur.
Et la peur que cela disparaisse,
Qui est la peur que VOUS disparaissiez,
Est la croyance en votre propre mort,
Et le désir de cette mort.
Tout cela va disparaître.
Même vous, dans votre pensée, vous savez cela.
Lorsque vous donnez de la valeur à n’importe élément de tout cela,
En sachant tout le temps que cela va disparaître,
Vous créez votre propre mort
Et la peur de cette mort.

De nouveau, votre pardon n’est rien de plus
Que la réalisation qu’il n’y a rien ici-bas à quoi donner de la valeur.
Si bien que lorsque vous vous percevez malade,
Lorsque vous vous percevez dans la douleur,
Sachez à l’intérieur de vous-même que votre maladie n’est rien d’autre qu’un reflet,
Une validation du fait que vous donnez de la valeur à quelque chose ici-bas,
Dans ce monde.

Lorsque vous passerez au-delà de l’attribution à ce monde d’une valeur quelconque,
Il n’y aura vraiment plus de maladie.
Vous n’aurez plus besoin de faire l’expérience de la douleur,
Car la douleur n’est que le reflet de votre peur.

Si bien que pour ceux d’entre vous qui avez choisi la maladie
Sous une forme quelconque,
Depuis une forte souffrance chronique jusqu’à un malaise occasionnel
Ou une légère allergie ou un petit rhume,
Vous avez choisi une voie facile.
En effet, dans votre sagesse vous vous offrez la preuve
Que vous donnez de la valeur à ce monde.
Et vos symptômes ne sont que le rappel du fait que vous attribuez de la valeur.

En arrivant à savoir qu’il en est ainsi,
Essayez du mieux que vous pouvez, essayez encore et encore
De revenir à la réalisation que vous êtes Esprit,
Que vous êtes libre
Et que vous n’êtes pas un corps.
Essayez de réaliser que votre esprit dans sa réalité
Ne contient que les pensées que vous pensez avec Dieu.

Lorsque vous devenez calme intérieurement
Et que vous tentez de laisser disparaître vos peurs,
Ce que vous faites en vous focalisant sur les pensées que vous pensez avec Dieu,
Alors la peur s’évanouit.
Elle ne s’évanouit pas parce que vous l’avez combattue,
Ou que vous avez lutté contre elle.
Elle s’évanouit parce que vous l’avez simplement LAISSE DISPARAITRE.
Vous n’avez pas abandonné votre peur en luttant.
Vous l’avez abandonné
Parce que vous avez choisi quelque chose de vraiment plus précieux,
Quelque chose qui vaut vraiment la peine qu’on lui attribue de la valeur.

Ce que vous avez choisi
Ce sont les pensées que vous pensez avec Dieu.
Et votre pardon vous libère de la croyance
Qu’une pensée quelconque que vous pensez avec Dieu
Est centrée ici-bas sur Terre.
En effet, il n’y a vraiment rien ici-bas à quoi attribuer de la valeur.

Pour que votre esprit ne s’égare pas dans le conflit,
Sachez que vous pouvez être sur cette Terre dans la paix,
Dans l’amour et dans la joie,
Sans donner de valeur à quoi que ce soit ici-bas.
En n’attribuant pas de valeur
Vous serez exempt de peur,
En totale sécurité, sans maladie
Et sans votre propre mort,
Jusqu’au moment où vous choisirez de vous remettre en route
Et de changer de forme.
Etre sur Terre dans cet état sera votre but.
Et ce sera une forme de votre salut.

Il y a beaucoup plus au-delà de cela, mais je ne peux même pas en parler
Car vous ne pourriez pas comprendre.
Soyez heureux de savoir que vous êtes béni
Et que vous êtes libre, car vous êtes le Fils de Dieu.

Il y a ceux d’entre vous qui n’ont pas choisi
Beaucoup d’état maladif,
Qui n’ont pas choisi beaucoup d’état de souffrance.
Ne confondez pas cela avec une absence d’attribution de valeur.
Leur travail est peut-être plus difficile.
Si vous avez ce que vous appelez un « bon » corps,
Qui se comporte bien pour vous
Et qui vous laisse faire les choses que vous voulez faire,
Il vous est bien plus facile de donner de la valeur à ces choses
Et de vouloir les garder.
Cependant, comme nous l’avons dit,
En attribuant de la valeur vous créer de la peur,
Ainsi que la croyance en votre propre mort.

Si bien que vous avez choisi une voie différente sur le chemin du salut.
Alors, comme vous choisissez rarement la souffrance, ce que vous pouvez faire
Consiste à faire attention et à regarder avec soin ce qui vous apporte de la joie.
Et si ce qui semble vous apporter de la joie
Dépend de quelque chose sur cette Terre
De telle sorte que votre joie disparaîtrait
Si la Terre disparaissait,
Alors, laissez cela être votre maladie.
Réalisez que lorsque vous trouvez de la joie dans ce que la Terre vous offre,
Alors, dans la mesure où vous lui donnez de la valeur,
Ce sera là votre maladie,
Car cela finira obligatoirement par vous conduire à la souffrance
Puisque cela aussi disparaîtra.

Vous pouvez apprendre cela en étant conscient de votre pensée.
Si vous trouvez de la joie dans quelque chose de cette Terre
Et que vous trouvez que vous êtes à même, dans cette joie,
D’en faire l’expérience A CE MOMENT-LA, dans l’instant,
Alors vous êtes libre.
Mais s’il y a la moindre peur, la moindre inquiétude
Ou la question de savoir si vous irez bien
Lorsque la source de cette joie disparaîtra,
Alors sachez que vous vous donnez de la valeur
Et que vous faites venir,
Comme dans le cas de la maladie,
Votre propre mort.
Par dessus tout, ne vous leurrez pas en pensant que,
Parce que vous n’êtes pas malade,
Vous êtes libre de toute attribution de valeur.

Il est très important pour vous que vous soyez conscient de cela.
C’est une question de pensée.
Et même la pensée disparaîtra.
Au moment où vous ne penserez plus,
La question d’attribution de valeur ne se posera plus
Et vous serez totalement libre.

Vous n’avez même pas à lutter contre votre attribution de valeurs,
Car cela disparaîtra de la même façon
Que tout de cette Terre disparaîtra.
Prenez conscience que je vous ai simplement donné des concepts
Pour que vous les appliquiez à votre pensée.
Cette pratique dans votre pensée
Vous aidera à passer au-delà d’elle.
Cependant, que vous choisissiez de suivre ces suggestions ou non,
Vous êtes totalement en sécurité et totalement aimé.

Alors, la question n’est pas votre maladie.
La question n’est pas l’absence de votre maladie.
La question est que votre liberté vient
Lorsque vous ne donnez pas de valeur à ce qui n’en a pas.
Votre liberté vient en réalisant
Qu’il n’y a rien dans ce monde
Que vous pouvez vouloir assez pour lui donner de la valeur,
Ou pour désirer que cela SOIT vous-même.

En l’absence d’attribution de valeur,
Vous deviendrez vraiment libre d’être sur cette Terre
Aussi longtemps que vous le désirez,
Dans la joie et dans l’amour.
Et tous vos frères verront cette joie briller sur votre visage
Et dans vos yeux.
Il est possible qu’ils paraissent troublés par une partie de cela.
Mais au niveau le plus profond de ce que vous êtes
Il n’y a que l’Unité,
Il n’y a que le Soi Un.
Et ils connaîtront votre expérience.

En laissant vraiment disparaître toute attribution de valeur
A quoi que ce soit sur cette Terre,
En atteignant la joie qui se trouve dans le fait de savoir
Que vous êtes totalement libre de toute chose ici-bas,
Parce que vous ÊTES Esprit,
Parce que vous ÊTES le Fils de Dieu,
Parce que vous ÊTES co-créateur avec Dieu,
Alors vous êtes vraiment libre.
Vos frères vont ressentir en vous cette liberté.
Et vous serez véritablement l’un des sauveurs du monde.

Soyez tous bénis. C’est tout.

(“Journey Beyond Words”, de Brent Haskell. P.150 à 158)
Traduit de l’anglais par Sylvain du Boullay


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Cette page, mise en ligne le 13-12-2008, a été consultée par 572 visiteurs
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