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Référence de la petite annonce : 42401
Catégorie : information
Site Web
annonce déposée le : 30-07-2018
Par : essentiel
Marché du désir 5 - Gros plan sur une imposture

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Marché du désir – Debouts les hommes de paille

Le nom de la famille, en capitales s’il vous plaît, collé à votre NOM, le capital écrit partout en gros. L’avez-vous remarqué cette énorme incongruité ? C’est devant nos yeux. Pourquoi le nom de la famille et avec lui le signe du sang est écrit en premier sur des papiers datés, et pourquoi tout le monde est fiché en capital ? Est-ce la location d’une imposture ou la durée d’un marché avec l’illusion?

Vous verrez ou voyez comment votre identité est un objet de marchandise, et votre corps au  passage, et le tout pouvant aller jusqu’à se doubler lui-même, binaire quand tu nous tiens. Le mental signe là un monde de faux et d’usages de faux, une matrice du mensonge pour le marché des songes, auquel nous consentons malgré nous si nous ne prenons pas acte du vice de forme qu’est LA PENSEE. Voir et nommer cela c’est dénoncer le faux, et faire la lumière sur la tromperie qui fait monde et qui me défait. L’identité est un contrat juridique passé avec l’illusion, pour faire monde, telle est la loi mentale de l’immonde.

Votre nom de chair et de sang, a été remplacé par le nom d’une société dont vous portez le NOM, singé par cette majusculite aigüe car le nom civil, dès votre naissance officielle et donc écrite, a été réquisitionné par le registre du commerce, pour que vous soyez fiché témoin capital, et mort sur la croix ad vitam. Seules les entreprises, corporations et autre associations de malfaiteurs sont labellisées en capitales, et votre nom est assimilé à cela : quelque chose de clairement trouble, qui est fait pour rapporter, le support d’un cadavre en rémission, un porte-carte, un fantôme très exactement comme base spectrale de leur système religieux. La religion du moi, le social ordinaire du monde du comme si de rien n’était. Votre signature signe l’aberration par laquelle le système juridique vous impose une identité fictive, un marché, par lequel vous remettez votre existence à une histoire dont vous n’êtes pas le héros. Connu cela se nomme un « homme de paille », c’est un trompe l’œil. Et il est fait pour brûler.  Cette théorie ciblée et imparable du nœud névralgique de la civilisation du faux, l’identité mentale imposée par un code, daté dans l’histoire du monde, et prouvée par vos papiers, vous pouvez être sûrs que le concept de « corps » ne sera pas loin, déjà là comme votre nom, c’est induit dans le paquet des croyances, le mot et la chose. Toute posture est une imposture, et votre identité est ce à quoi vous tenez le plus. Le bluff du marché c’est de vous faire oublier cela, tout en ne parlant que de cela : vous et vos désirs. Cela ne fait pas un corps cela fait des fantômes semi pensants qui dorment du même sommeil séparateur.

Symbole enregistré avant même que vous ne sachiez écrire, votre NOM est une anomalie. Une aberration que la pensée ordinaire niera d’un : « c’est comme ça. » Cette grande anomalie élaborée en forme de trou règne au cœur de votre pièce d’identité, même quadrature que celle de votre voisin. C’est le néant qui siège au milieu des tonnes de papiers recyclés, c’est ce néant qui cause le désordre permanent dans les archives du faux ou à la maison blanche. Personne ne viendra nous le dire si nous n’allons pas y voir par nous-même. Inclus dans le programme : l’oubli, et la borgne attitude. Une fable gouverne les mentalités, cela s’appelle un « moi », et chacun est signé par cette croyance, nécessaire et transitoire, le rêve de Pinocchio. Sans nom et sans visage, uni au silence sans traces, Là, plus personne. Burn in, Hamlet passe pour fou, Andromaque pète les plombs. Yoda prend son sabre.

Cette identité juridique fictive, ce NOM est, par notre consentement répété, puis automatique, devenu une signature fixée dans le temps et une cause à défendre, symbole de l’accord tacite et soutiré de force à appartenir au registre du connu, par le commerce et ses lois, et au codes induits du rite : obéissance, arrogance, violence. Tout cela malgré vous, pion dans la matrice du connu, le monde de « moi » est devenue l’immonde, à voir en face sans trembler parmi les cartes du grand jeu humain en ce moment. L’un des nombreux supports subconscient qui vous font vouloir être ou devenir « quelqu’un ", c'est juste pour nier tous les autres "quelqu'un. Deux chiens se battent pour un tissu, l'un d'eux lâche le tissu et s'en va, l'autre oubli le tissu aussi vite, et s'en va aussi. Base de la trilatérale en économie.

La tromperie du code Justinien est l’image flagrante de l’imposture mentale et séparatrice du flux vivant, condensé par l’égo d’une époque toute entière pour faire une aberration historique et une religion sociale. Nul racisme sans un sens de l’identité, nul commerce sans le sens de la séparation. Sans identité fixe avec quoi signer ?

Si la maison brûle, que fais-tu ?

Si je suis le feu rien, je suis, j’existe, je respire.

Le nom symbolise une absence, est-ce la nôtre ? Avons nul besoin d’identité pour être et respirer.

Mais peut-on encore respirer ?




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Cette page, mise en ligne le 30-07-2018, a été consultée par 1008 visiteurs
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