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Référence de la petite annonce : 27462
Je propose dans la catégorie : vidéo
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annonce déposée le : 10-03-2014
Par : avi
La maltraitance laisse des traces dans l'ADN: prouvé scientifiquement
On a la preuve scientifique que la maltraitance imprime ses traces dans notre ADN. 
Reportage hautement intéressant. 
Bonne visualisation.
Avi
Source: http://www.geneasens.com/references/g%C3%A9n%C3%A9tique.html et Radio Télévision Suisse
Merci à Suzanne pour le lien


Un traumatisme psychologique dans l’enfance peut laisser une cicatrice génétique chez l’adulte. C’est ce qu’ont découvert une équipe de chercheurs genevois en examinant l’ADN d’adultes souffrants de troubles psychiatriques.

Le groupe de recherche du Professeur Alain Malafosse, du Département de psychiatrie de l’UNIGE (Université de Genève), en collaboration avec le Département de génétique et de développement, a ainsi démontré que l’association entre maltraitance infantile et certaines pathologies adultes résultait d’une modification des mécanismes de régulation des gènes. Leurs travaux sont publiés dans la revue Transnational Psychiatrie.

Ont participé à l’étude 101 sujets adultes souffrant d’un trouble de la personnalité borderline, caractérisé notamment par une instabilité dans les relations interpersonnelles, les émotions et l’impulsivité. En examinant leur ADN, issu d’une simple prise de sang, les chercheurs ont observé des modifications épi génétiques, c’est-à-dire dans les mécanismes de régulation des gènes, chez les participants ayant été maltraités durant leur enfance (abus physique, sexuel et émotionnel, carences affectives…).

C’est la première fois que l’on voit un lien aussi clair entre un facteur environnemental et une modification épigénétique

Dr Ariane Giacobino, du Département de génétique et de développement.

Lien d’autant plus fort que plus la maltraitance a été sévère durant l’enfance, plus la modification est importante.



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Cette page, mise en ligne le 10-03-2014, a été consultée par 781 visiteurs
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