Ici, beaucoup d'informations alternatives.

Merci à Jean et Brigitte Bonnefille

Avi

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Vous trouverez une version  téléchargeable un peu plus lisible du texte ci-dessous en cliquant ici https://www.hightail.com/download/OGhlL0dCZEtPSHpIRHRVag

(en PDF 247Kb, 12 pages de texte) 

 

PROJETER

 

Jusqu’au 13 octobre, à Marseille, Yes we camp ! camping alternatif et expérimental, mêlant écologie et architectures performatives. Le projet propose une programmation culturelle régulière, des ateliers participatifs, un espace de jeux, une buvette et un restaurant, de la création artistique et des modules d’hébergement innovants.

http://www.yeswecamp.org/Presentation

Sur les quais de l’Estaque.

 

Du 16 au 22 septembre, semaine du revenu de base http://semaine.revenudebase.info/

http://revenudebase.info/

http://www.revenudexistence.info/WD140AWP/WD140Awp.exe/CONNECT/revenudexistence

Le revenu de base est universel, individuel, inconditionnel et suffisant pour assurer à chacun une vie digne et sa participation dans la société. Ce nouveau droit fondamental pour l'humanité éradiquerait non seulement l'extrême pauvreté mais encouragerait également les activités non marchandes: artistes, parents ou bénévoles…

http://revenudebase.info/2013/08/le-phenomene-des-boulots-bidon/

Pour signer la pétition: http://basicincome2013.eu

A cette occasion on peut, entre autres, (ré)écouter quelques émissions autour du travail de Dominique Méda : http://www.franceinter.fr/personne-dominique-meda

 

Mardi 17 septembre, 19-21h, à Paris 4^e, projection-débat « Le droit de semer ». Comprendre et apprendre avec les créateurs du film d'animation The right to save seed

Shabnam Anvar (docteur en droit sur la réglementation des semences), Mathieu Eisinger (réalisateur), Jeanne Rouchel (réalisatrice et graphiste) et Olivia Zarcate (juriste infographiste).

Sur inscription : http://open-solutions.info/

Maison des acteurs du Paris durable, 21, rue des Blancs-Manteaux.

 

Mardi 17 septembre, 18-19h, émission des Périphériques vous parlent sur la radio Fréquence Paris Plurielle (bande FM 106.3 ou en direct sur www.rfpp.net) : Travail & Démocratie : retransmission (1re partie) de la manifestation du 22 mai 2013 intitulé « Travail & Démocratie/ rencontres d'expériences, analyses, perspectives et controverses ».

Le collectif Travail & Démocratie, en partenariat avec le conseil régional d'Ile-de-France, la revue Les Périphériques vous parlent, l'Institut de recherche de la FSU, la fédération Peuple et Culture ont organisé cette manifestation pour mettre à l'épreuve la pertinence de l'articulation travail & démocratie à partir d'expériences susceptibles d'opérer des changements dans le cadre de l'activité de travail et de son organisation.

Sont retransmis dans le cadre de quatre émissions (tous les troisièmes mardis du mois de septembre à décembre) les deux temps d'interventions et d'échanges suivants :

1) Travail & Démocratie – Comment la question émerge-t-elle dans le champ de l'entreprise ?

Rencontre d'expériences avec les interventions dans l'ordre de Yovan Gilles (Les périphériques vous parlent), d'Abdelhak Kachouri (vice-président à la région IDF chargé de la citoyenneté, de la politique de la ville et de la sécurité), Thierry Masquelier (conseil d'entreprise), Philippe Lemoine (PDG de LaSer, Forum Actions Modernités), Nadia Rahou et Vincent Mandinaud (Agence nationale pour l'amélioration des conditions de travail), Alain Alphon-Layre (responsable national CGT travail/santé), Sidi-Mohammed Barkat (philosophe et chercheur associé au CEP ergonomie et écologie humaine Paris 1 Sorbonne) et du public.
2) Travail & Démocratie – Comment la question émerge-t-elle dans le champ des services publics et de la Fonction publique ?

Rencontre d'expériences avec les interventions d'Yves Baunay (Institut de recherche de la FSU), Patrick Ackermann (Observatoire du stress et des mobilités forcées à France Télécom) et Pierre Morville (CGC), Michèle Rault (Solidaires finances publiques), Daniela Schwendener ("médiation, souffrance et travail" du centre municipal de santé de Gennevilliers, Jean Desessard (sénateur) et du public.


 

Mercredi 18 septembre, à 20h (accueil dès 19h45), à Paris 11^e, débat en présence de l’auteure, Anne Clerval, de Paris sans le peuple (éd. La Découverte). Où est passé le peuple parisien ? Quelle place la ville de Paris accorde-t-elle aujourd’hui aux classes populaires ? Depuis plusieurs décennies, la capitale connaît un processus de gentrification, un embourgeoisement spécifique des quartiers populaires qui passe par la transformation matérielle de la ville (réhabilitation de l’habitat, renouvellement des commerces, embellissement de l’espace public). Que se passe-t-il vraiment et qu’y a-t-il en jeu dans ces transformations à la fois urbaines et sociales ? Voilà qui est le plus souvent laissé dans le flou et masqué derrière une sorte d’évidence, comme si cela faisait partie de l’évolution « naturelle » des villes.

Ce livre vient éclairer ce processus et permet d’approfondir la connaissance de Paris et de son évolution récente. À partir d’un travail de recherche et d’une enquête de terrain menée pendant quatre ans dans plusieurs quartiers parisiens, Anne Clerval montre que cette transformation est autre chose qu’une simple amélioration du bâti, de l’espace public ou des commerces, et révèle à qui elle profite et qui elle dépossède. Elle propose en particulier une approche circonstanciée des politiques menées par la gauche depuis 2001 et de leurs effets.

Un livre essentiel pour permettre aux lecteurs, Parisiens ou non, de s’approprier les enjeux sociaux et politiques de l’évolution de la ville.

Librairie Quilombo ouverte du mardi au samedi de 13h à 20h, 01 43 71 21 07, quilombo@globenet.org, http://www.librairie-quilombo.org

Centre international de culture populaire (CICP), 21 ter, rue Voltaire (Mo Nation ou Rue-des-Boulets).

 

Mercredi 18 septembre, Journée du transport public. Aux quatre coins de France, les villes vont proposer des tarifs divers pour encourager le déplacement en transport en commun. Mais dans le maquis de ces offres, tout le monde s’y perd. Le meilleur moyen de promouvoir les transports en commun ne serait-il pas de les rendre gratuits ? http://www.reporterre.net/spip.php?article4647 voir aussi http://carfree.free.fr/ Il faudrait juste leur rappeler qu’il y a un événement qui s’appelle la Journée mondiale sans voitures http://journeesansvoitures.wordpress.com/) a lieu tous les 22 septembre depuis de nombreuses années. Cette fois-ci, notons la concentration cycliste non-déclarée à Paris (voir paragraphe ci-dessous à cette date) ou de patineurs à Bruxelles http://www.rouliroula.com/index.php?option=com_content&view=article&id=326:polerollerrouliroula&catid=69:evenements-roller-et-annonces&Itemid=9

Du jeudi 19 septembre au dimanche 22 septembre, à Paris, fêtons les 10 ans de la Vélorution. Il y a dix ans, le 22 septembre 2003, se réunissait une petite bande de non-motoriséEs à la place de l’Étoile. C'était la Journée internationale sans voitures. Nous étions 50, les voitures étaient 5 000... Depuis, des cyclistes se réunissent chaque mois pour mettre la rue au rythme des pédales – les masses critiques ont rassemblé jusqu'à 1 500 personnes (vélorution universelle juillet 2010). 

Vélorution met maintenant son grain de selle aux comités vélo municipaux, et fait bouger les lignes des politiques cyclables par des actions médiatiques (Paris Zone 30 !). 

Vélorution a fait ouvrir une Maison du vélo avec Mieux se déplacer à bicyclette (MDB), et y met les mains dans le cambouis à l'atelier participatif. Elle continue de faire vivre la rue par des ateliers mobiles, zones de gratuité, parking day. Elle soutient les lieux squattés en y animant un atelier de campagne (8 ans de tribulations dans 8 squats tous plus beaux les uns que les autres).

Vélorution Paris/IDF, c'est aussi 10 ans d'actions conjointes avec les Amis de la Terre, Sortir du nucléaire, les Anti-pubs, Guerilla Gardening, les Sans-Papiers, la Commune libre d'Aligre...

- Jeudi 19, à 20h : auberge vélorutionnaire à l'atelier de la Maison du vélo, avec présentation/débat autour du livre Manifeste pour une Dotation Inconditionnelle d'Autonomie,  avec Vincent Liegey. ChacunE amène de quoi manger et boire. RDV 6, rue Jacques-Cœur, à Paris 4^e.

- Vendredi 20, à 20h : Masse critique nocturne ; soyons lumineux-ses !

Rendez-vous sur les marches de l'Opéra, place de la Bastille.

- Samedi 21, à 14h : Bike Wars ! (thebeatniks.org/BIKEWARS/). En collaboration avec le collectif Stendhal, pour la Journée internationale de la paix, on vous invite à un événement pacifiquement terrifiant et ludiquement sanguinolent. Alors que les guerres pour le pétrole et autres ressources font rage, que les peuples qui se révoltent contre la finance sont opprimés dans le sang, et que la course aux armements nucléaires se poursuit, on va faire la guerre pour rire, la fête en vrai : joutes de tallbikes (littéralement : haut vélo), combat de destroyers sans moteurs, zone de gratuité, disco soupe (twitter.com/DiscoSoupe), concerts. Info lieu à venir.

[L'atelier vélo/soudure du squat, 5, rue Stendhal, 20e, est ouvert dès le 11 septembre pour vous aider à construire votre monture (contact: stendhal.noir@gmail.com).]

- Dimanche 22, respirez un bol d’air frais lors de la Journée mondiale sans voitures. Chaque année, des personnes se réunissent aux quatre coins de la Terre afin de rappeler au monde entier que nous ne sommes pas obligés d’accepter une société dominée par l’automobile.

18h30 : Masse critique de l’Étoile rayonnante. On tourne autour de la Place de l'Etoile-Charles de Gaulle (http://22septembre.org). Une fois le trafic motorisé annihilé, nous irons nous restaurer avec un pique-nique aux Tuileries (apportez à manger, il y aura de la boisson locale).

 

Du vendredi 20 au dimanche 29 septembre, 2e édition du Festival des utopies concrètes. Le Mouvement des villes en transition Ile-de-France et plusieurs collectifs, associations et coopératives ont souhaité organiser dix jours autour des alternatives concrètes locales et de la permaculture pour anticiper et réfléchir à la manière d'affronter les crises environnementales mais aussi sociales et économiques qui se préparent. L'idée de ce festival est d'être un moment de réflexion et de rencontres, fondé sur des échanges, des partages et des retours d'expériences à partir d'initiatives locales sur des thématiques aussi vastes que l'agriculture urbaine ou périurbaine, l'alimentation, le recyclage, l'énergie, les transports, les monnaies complémentaires, l'habitat collectif ou partagé, systèmes d’échanges locaux. Notre volonté est non seulement de susciter l'émergence de nouvelles alternatives sur nos territoires (et notamment à Paris et en Ile-de-France) mais aussi d'imaginer des formes d'utopies concrètes permettant une transformation de la société par nos pratiques et nos réflexions. Avec en point de mire, la volonté de construire des modes de vie résilients, adaptés aux secousses économiques et environnementales que nous connaissons déjà à travers les bouleversements climatiques ou les crises financières depuis 2008.

Source : http://festivaldesutopiesconcretes.org/le-fuc...

- Vendredi 20, à partir de 18h30, à Paris 18^e : ouverture festival du FUC sur la thématique de la reconquête des espaces publics, avec au programme musique, repas, projections, discussions sur le thème des espaces collectifs et lancement d’un manifeste des jardins et des espaces publics. 

Jardin partagé de la Goutte Verte, 4, rue Cavé et sur des places de parking autour du jardin en lien avec Parking Day.

- Samedi 21, de 10h à 18h, à Paris 19^e : ZUC (zone d’utopies concrètes). Au programme : village associatif, stands, ateliers, interventions, installations, musique, débats, etc. Présentation de la grande maison-cabane « Habiter autrement » 100% récup à énergie non polluante. Les passants pourront entrer, y découvrir les objets, les produits, les appareils, troquer, donner, réparer, apprendre à fabriquer des cosmétiques, un lombricomposteur, un four solaire, etc., aider à cuisiner, laver leur linge, etc. 

Place des Fêtes.

- Samedi 21, à partir de 19h, à Paris 12^e : soirée festive avec projection du film Pierre Rabhi Au nom de la terre, de Marie-Dominique Dhelsing, suivie d’un débat-échanges avec un intervenant des Colibris. A partir de 21h15, concert avec Guillaume Rat et de Béa Tristan.
Espace Reuilly, 21, rue Hénard.

- Dimanche 22, à  partir de 10h, à Paris 20^e : rencontre des initiatives en transition d’Ile-de-France ou ailleurs.
 Au programme : ateliers, groupes de travail, installations, discussions, etc. 

5, rue Florian, vers la gare d’Avron.

- Lundi 23 à 19h30 : soirée sur les alternatives face à la crise en Europe (Espagne, Portugal, Grèce). Projection-débat en lien avec le CADTM à travers les témoignages de Roxanne et Panos, deux Grecs engagés dans le mouvement actuel. Un impératif : monter les luttes mais aussi les alternatives pour faire face aux crises 

(précision sur le lieu à venir).

- Mardi 24 à 19h30, à Paris 4^e : soirée re-économie ou comment réinventer l’économie et la place de l’ESS (économie sociale et solidaire) dans un monde en transition

Maison des Acteurs du Paris Durable, 21, rue des Blancs-Manteaux

- Mercredi 25, à 19h30, à Paris 20^e : soirée transition et politique dans le cadre de la sortie du nouveau numéro de la revue Mouvements. Invités : Vincent Liégey, auteur du livre Un projet de décroissance (éd. Utopia) et porte-parole du PPLD ; Vincent Gerber, auteur de Murray Bookchin et l’écologie sociale, une biographie intellectuelle (éd. EcoSociété) ; Pierre Thomé, auteur de Créateurs d’utopies - Démocratie, autogestion, économie sociale et solidaire (éd. Yves Michel) ; et Virginie Le Torrec, Saint-Denis en transition.
Ce débat abordera les rapports entre le mouvement de la transition et la politique, en nous interrogeant sur les liens qui pourraient exister entre la politique et la transition ; en se questionnant sur la nécessité ou non de construire des passerelles plus affirmées entre les partis traditionnels et la transition ; en mettant en lumière la proximité des idées et des pratiques entre la transition et certaines théories politiques comme la décroissance ou le municipalisme libertaire.
Avec en toile de fond, une problématique centrale :  « Inclusivité ou parti pris, la transition à la croisée des chemins ? » 

Café Le Lieu-dit, 6, rue Sorbier.

- Jeudi 26, à 19h30, à Paris 4^e : Quelle énergie pour nos villes ? avec Virage Energie IDF et Enercoop. Maison des Acteurs du Paris Durable, 

21, rue des Blancs-Manteaux

- Vendredi 27, à 19h30, à Montreuil (93) : soirée « Faites du fric 3 », lancement de la monnaie locale de Montreuil. Espace Comme vous émoi, 

5, rue de la Révolution.

- Samedi 28 et dimanche 29, à Chennevières sur Marne (94) : Automnales de la permaculture http://festival-permaculture.tumblr.com/ coorganisées par Relocalisons. Au programme : ateliers (mandala, poulailler, enduit, bac à eau, plantation d’arbres, fabriquer des meubles avec le bois de la forêt, shiatsu, apiculture, plantes sauvages comestibles, etc.), conférences sur la permaculture, la transition, etc., soirée joyeuse (musique, repas tout beau). Possibilité de camper au camping juste à côté le samedi soir et de commencer le dimanche sur place avec un petit déjeuner ! 

A la Plaine des Bordes.

Tous les détails du programme mis à jour et de comment s’y rendre sur http://festivaldesutopiesconcretes.org/fuc-2013-le-programme-se-devoile/

 

Vendredi 20 septembre, à 19h, à Paris 20e, rencontre-débat sur la Grèce avec Frédéric Lemaire (ATTAC) qui traitera de la situation socio-économique en Grèce et des impacts de la politique d’austérité, Laurence Pillant (doctorante associée aux travaux de Migreurop) qui partagera son analyse de la politique antimigratoire en Grèce et en Europe et Grégory Lassalle (réalisateur) qui reviendra sur la vie des migrantEs « prisES au piège » en Grèce. Ces interventions seront suivies du témoignage d'un migrant ayant transité par la Grèce.

Dans les locaux de la Fasti, 58, rue des Amandiers (Mo Père-Lachaise).

 

Vendredi 20 septembre, à 20h, à Montreuil (93), soirée de soutien à la Nouvelle Rôtisserie

20h-22h : dîner entrée-plat-dessert 12 € (30 couverts assis)

22h30 : concert de lancement de Los Angelas (prix libre) 

Petite restauration et buvette à prix libre.

La Guillotine, 24, rue Robespierre (Mo Robespierre).

 

Vendredi 20 septembre, 19h30-21h30 (accueil dès 19 h), à Paris 20^e, « Parking Day dans le 20^e : quel partage de l'espace public en ville ? » avec la participation de Fabienne Giboudeaux, élue écologiste du 20^e, adjointe au maire de Paris en charge des espaces verts et de la biodiversité, dans le cadre des Vendredis de la Teinturerie.
Parking Day, c’est quoi ? Pendant une journée, les espaces habituellement réservés à garer les voitures deviennent des lieux d’initiatives engagées, originales, créatives et écologiques. Manifestation festive, événement international, PARK(ing) DAY, c'est aussi et surtout l'occasion de réfléchir au partage de l'espace public, d'imaginer de nouveaux usages urbains et de formuler ensemble à des propositions pour la ville de demain ! http://www.parkingday.fr/  

Pour la convivialité, merci d’apporter des choses salées ou sucrées à grignoter et des boissons diverses, jus de fruits ou vins.
Contact : Guy Philippon
guy@philippon.org
24 rue de la Chine.

Vendredi 20 septembre, à 19h30, à Paris 20e, projection du film Ekumenopolis suivie d’un débat sur l’urbanisation à Istanbul et en Europe. Les résistants de Notre-Dame-des-Landes (NDDL) vont être avec nous pour discuter les politiques d’urbanisation en France aussi.

Ecumenopolis : City Without Limits (Ville sans limite) raconte l’histoire d’Istanbul et d’autres mégapoles se trouvant sur une trajectoire de destruction néolibérale. Il suit l’histoire de la lutte du Droit au logement d’une famille d’immigré-e-s suivant la démolition de leur quartier. Le film jette un regard sur la ville à un niveau macro et à travers les yeux des experts ; allant des sommets des gratte-ciel aux bouts des tunnels ferroviaires ; des quartiers historiques dans le sud à la forêt du nord ; des îles isolées de la pauvreté aux villas des riches. Il s’agit d’un Istanbul qui est passé de 15 millions à 30 millions d’habitants, et de 2 millions de voitures à 8 millions.

L’Istanbul de l’avenir va bientôt embraser toute la région, et sera une ville sans frontières.

http://ekumenopolis.net/

http://www.cnt-f.org/-english-.html

http://www.turquieeuropeenne.eu/5557-projection-debat-du-film-turc-ekumenopolis-a-paris-20e-vendredi-20.html

CNT, 33, rue des Vignoles (Mo Avron/Buzenval).

Samedi 21 et dimanche 22 septembre, à Paris 18^e, à l'occasion de la Fête des jardins, le Bois Dormoy invite chacun à venir pique-niquer et accueille des artistes locaux durant tout le week-end.

- Samedi, de 16h à 22h : grand pique-nique féerique.

Au programme : stand de maquillage, concert de harpe, initiation à l'art du monotype, buvette, vente de bracelets et d'accessoires floraux. L'entrée à l'événement est gratuite mais tous les ateliers sont en participation libre. L'intégralité de la recette du pique-nique féerique viendra s'ajouter à la cagnotte de « Un bracelet contre le cancer », reversée à la Ligue contre le cancer.

Ici, un petit film tourné lors de la première édition : http://youtu.be/0a-i7cNPNl8

- Dimanche, à partir de 12h, Denis Bourdaud, auteur de bande dessinée, fêtera la parution du n° 93 du Courrier mensuel, fanzine de 20 pages de fictions et de reportages dessinés.

Nathalie Ovion exposera ses photographies urbaines et parfois irréelles. http://boisdormoy.blogspot.fr/

Pétition pour sauver le Bois Dormoy : http://www.petitions24.net/sauvons_le_bois_dormoy

Cité de la Chapelle (Mo Marx-Dormoy)

 

Samedi 21 septembre, à Paris 12e, fêtons l'abondance partagée avec le mouvement des Incroyables Comestibles Paris : installation d'incroyables bacs comestibles dans Paris.

- 14h-18h : ateliers mise en terre et plantation dans les bacs, bouturage de thym, menthe, lavande..., fabrication de bacs à réservoir d'eau, de lombricomposteurs ou de vermicompostes, de mini-jardinières de rue à base de boîtes de conserve, semis et troc de graines et de plantes. Sont les bienvenuEs : boîtes de conserve (pots de lait en poudre, etc.) de toutes tailles (vous pouvez évidemment les décorer au préalable), fils de fer, plantes, graines (possible distribution de graines de Kokopelli), terre, fruits (de saison, bien sûr ;-). 

Maison des associations de Paris 12e (ancienne gare de Reuilly), 181, avenue Daumesnil (Mo Montgalet, Daumesnil).

- 18h : dégustation d’une boisson chaude au Nid du 12, à quelques pas de là, entre la maison des associations du 12e et l’Espace Reuilly.

Contact : incroyablescomestiblesparis@gmail.com

 

Samedi 21 septembre, à 14h30, à Paris 2^e, "Ivan Illich, penseur de la société conviviale", rencontre organisée par le groupe de réflexion sur l'écologie politique Rêvolutives. Invité: Thierry Paquot, philosophe, professeur à l'Institut d'urbanisme de Paris. Ivan Illich (1926-2002), penseur critique de la société industrielle, a marqué par ses ouvrages le débat écologiste des années 1970. Il analyse les institutions (l'Eglise, l'école, l'hôpital, les transports) pour démontrer

leur tendance "contre-productive" : l'école désapprend, l'hôpital rend malade, les transports bouchonnent... Ivan Illich appelle à une reconstruction conviviale, par laquelle les individus réclament leur droit, reprennent la parole, rouvrent des espaces sociaux d'échanges et se

souviennent de leurs racines. Thierry Paquot a préfacé le tome 2 des Œuvres complètes d'Ivan Illich (Fayard, 2005) et a publié une Introduction à Ivan Illich (La Découverte, 2012). Ce dernier ouvrage a reçu le prix du livre écolo de l'année 2012 délivré par Rêvolutives.

Retrouvez Rêvolutives, groupe de réflexion sur l'écologie politique, sur www.revolutives.fr

Mairie du 2^e arrondissement de Paris, 8, rue de la Banque (Mo Bourse).

 

Samedi 21 septembre, partout en France, pique-nique pour dire non à la disparition des associations : http://www.recit.net/?Des-pique-niques-citoyens-partout

Suite à l’appel "non à la disparition des associations" lancé par le Collectif des associations citoyennes (pensez à signer l’appel en ligne), il a été décidé d’une semaine d’action nationale pour exiger la reconnaissance du rôle des associations dans la société et le maintien des financements associatifs. http://www.nondisparitionassociations.net/

Dimanche 22 septembre, à partir de 13h, dans la plaine maraîchère de Montesson (78), pique-nique sur la ZAD Patate pour soutenir une mobilisation en Ile-de-France dans un moment clé de lutte anti-ZAC et anti-route. Une lettre a été envoyé au préfet par le collectif Plaines-Terres pour l’interpeller sur la nécessité de ne pas déclarer d’utilité publique un projet de ZAC bien craignos, super pas utile et destructrice et de réclamer un moratoire pour suspendre la création d’une route au milieu de plaine, super destructrice également des terres agricoles.

Ateliers réparation de vélos, jardinage, découverte du site et des zones à occuper...

Contact : 06 51 82 00 44 (demandez Camille)

http://www.guerilla-gardening-france.fr/FRANCE/jpg/plaine-terre-zad-patates-22%20septembre-montesson.jpg

Parking du Gemo, derrière l’hypermarché Carrefour de Montesson (SNCF/RER Sartrouville + bus 22 ou à pied ou à vélo).

Dimanche 22 septembre, à 14h, à Paris 20^e, Gratiferia. Vive la gratuité ! A bas l'austérité ! 4^e Gratiferia (espace de gratuité) de Démocratie réelle maintenant (ils nous ont appelés les indignés), avec Stop Paying Idf, et Citoyens du Monde Paris 13. 
Aux créateurs de changement, aux insoumis, à celles et ceux qui résistent et construisent au quotidien la démocratie réelle, les droits humains et les transitions concrètes... Aux précaires, aux mères seules, aux chômeurs, aux exclus, aux enfants et élèves en pleine et difficile rentrée scolaire, aux retraités, aux jeunes et moins jeunes confrontés à la violence économique, au racisme à la répression d'État... Aux habitants de notre mégapole francilienne qui aspirent à un peu plus de solidarité et de convivialité... A celles et ceux qui souhaitent participer à une expérience alternative démontrant qu'il est possible de vivre autrement en société, qu'un autre système est possible sans argent, sans blé, sans fric... À l'appel international de Via22 et des Incroyables Comestibles, en lien avec le Festival des utopies concrètes et pour construire ensemble une rÊvolution globale...

- 14h : Gratiferia. Apportez ce que vous souhaitez donner, et prenez ce que vous voulez. Gâteaux maison, fruits, jus de fruits, bienvenus !

- 17h : assemblée et libre prise de parole sur nos expériences et luttes d'ici et d'ailleurs dans le monde, notamment sur l'éducation.

- 19h : banquet populaire et festif.

http://paris.reelledemocratie.net/node/1820

Sur le boulevard de Charonne (Mo Avron), à 10 min du Festival des utopies concrètes. 

 

Mardi 24 septembre à 19h, à Paris 20^e, rencontre-débat avec Michael Löwy, auteur de La cage d’acier - Max Weber et le marxisme wébérien, proposée par la Société Louise Michel. Hostile au socialisme, le sociologue allemand Max Weber (1864-1920), auteur de L’Éthique protestante et l’esprit du capitalisme, est souvent présenté comme l’antithèse de Marx, proposant une version idéaliste de l’histoire de la constitution du capitalisme. C’est pourtant un critique lucide de la dynamique capitaliste, inventeur de la formule percutante « une cage d’acier » pour décrire ses effets sur l’humanité. À la suite d’auteurs comme Lukacs, Merleau-Ponty, Benjamin ou Gramsci, Michael Löwy considère que les anticapitalistes ont besoin des analyses de Weber pour mieux comprendre le monde, et en particulier le rôle des religions. C’est ce qu’il expliquera lors de cette soirée autour de son livre
Résumé de La Cage d’acier. On oppose volontiers Max Weber à Karl Marx. Certes, le grand sociologue allemand était un libéral, hostile au communisme. Mais c’était aussi, nous rappelle Michael Löwy, textes à l’appui, un analyste très critique du capitalisme et de sa course effrénée au profit qui enferme l’humanité moderne dans un système implacable. Michaël Löwy, à la fois wébérien érudit et marxiste engagé, entend montrer combien le courant critique du marxisme wébérien reste d’actualité alors que la toute-puissance des marchés emprisonne, plus que jamais, les peuples dans la cage d’acier du calcul égoïste !  

 

Vendredi 27 septembre, à 21h,  à Beaumont sur Oise (95), projection du film Pierre Rabhi, Au nom de la terre, de Marie-Dominique Dhelsing.

Au Palace, 6, avenue Anatole-France.

 

Vendredi 27 septembre, 20h-22h30, à Pantin, soirée jeux : venez jouer et découvrir de nouveaux jeux de société à Pantin, dans un cadre convivial. N’hésitez pas à rapporter vos jeux à partager. Entrée libre – consommation recommandée. Contact : Michel Scrive, mishelu2000@yahoo.fr  

Du vendredi 27 au dimanche 29 septembre, à Blassac et à Langeac (43), Faîtes du jardinage, organisée par l’association Et pourquoi pas ? www.etpourquoipas43.org

Contact : 04 71 74 10 22, etpourquoipas43@laposte.net

 

Samedi 28 septembre, à 15h, Paris 18^e, atelier couture* : faire un tablier de cuisine (taille adulte ou enfant) ou un tapis de jeux en tissu (dames, pachisi ou autre). Pour cela, nous avons besoin de machines à coudre, de tissu, ciseaux, craies, etc. Participation obligatoire par l’apport de matériel et d’un goûter à partager. Contact : Michel Scrive, mishelu2000@yahoo.fr

Dans les locaux d'Ecobox, 17, rue de la Chapelle (Mo Marx-Dormoy, code d'entrée A2546, au fond de l'impasse à gauche avant le Théâtre de Verre).

Samedi 28 septembre, à 17h, à Paris 20^e, rencontre-discussion avec Christine Delphy, auteur de L’Ennemi principal, proposée par les éditions Syllepse. 

Qui est "l’ennemi principal" ? Pour la féministe matérialiste qu’est Christine Delphy, il ne s’identifie ni à l’Homme - avec une majuscule - ni aux hommes en général. Ce n’est en effet ni une essence ni un groupe naturel : c’est un système. Or ce n’est pas non plus, ou plutôt pas principalement, pour cette théoricienne qui s’inspire de Marx mais dans un parfait esprit d’hétérodoxie, le système capitaliste. L’ennemi principal, c’est ce qu’elle a choisi d’appeler le patriarcat : à savoir un système autonome d’exploitation et de domination. Elle a entrepris depuis plus de vingt ans d’en constituer la théorie, très exactement l’économie politique du patriarcat. "L’Ennemi principal", c’est aussi le titre de l’article de Christine Delphy qui, publié en 1970, la première année du Mouvement de libération des femmes, marque le début d’une révolution dans la réflexion féministe. Delphy introduit l’idée totalement nouvelle du patriarcat défini comme structure sociale hiérarchique et inégalitaire, en refusant toute explication de la subordination des femmes en termes idéalistes - que ce soit sur des bases biologiques, naturalistes ou essentialistes, ou bien encore fondées sur l’idéologie ou le "discours". Que ce féminisme soit un matérialisme signifie que ce sont les pratiques sociales matérielles qui rendent compte de la domination patriarcale sur les femmes. Traduits en anglais, en italien, en espagnol, en allemand, en grec ainsi qu’en turc et en japonais, les textes de ce recueil sont désormais accessibles dans leur ensemble au public français.

Christine Delphy est chercheure au CNRS depuis 1966. Elle a participé en 1968 à la construction de l’un des groupes fondateurs du MLF. Elle a cofondé avec Simone de Beauvoir les revues Questions féministes et Nouvelles Questions féministes (qu’elle dirige actuellement).

www.syllepse.net
Le Lieu-dit, 6 rue Sorbier.

 

Samedi 28 et dimanche 29 septembre, à Paris, stage de formation à la désobéissance civile,

toujours à prix libre. Inscriptions auprès de : stages@desobeir.net

 

Samedi 28 septembre, 14h, au nord d'Abbeville (80), nouvelle action menée par les paysans de la Confédération paysanne contre le projet de ferme-usine des 1 000 vaches, dans le sens d’une industrialisation de l'agriculture toujours plus dévastatrice à laquelle il faut mettre un coup d'arrêt. Importante manifestation unitaire, occupation du chantier, organisée par l'association NOVISSEN (NOs VIllages Se Soucient de leur ENvironnement), avec le plus grand nombre possible d’entre nous.

Vidéo de la dernière action : http://enviedepaysans.fr/non-aux-1000-vaches/#.UjgyOoVART5

Lire appel "Des fermes, pas des usines !" http://enviedepaysans.fr/signez-lappel-des-fermes-pas-des-usines/#.Ujgx3IVART5 exigeant des politiques favorisant l'agriculture paysanne et des fermes à taille humaine créatrices d'emploi et refusant une industrialisation croissante de l'agriculture au profit de fermes usines et d'agromanagers. Campagne pour changer les politiques agricoles à l’initiative de la Confédération paysanne : http://www.dailymotion.com/Confederation_paysanne#video=x13hh48.

Drucat-Le Plessiel, près de l'emplacement de la future ferme-usine en arrivant par la D928 (via l'A16 si l'on vient du sud), près du karting, l'emplacement sera fléché.

 

Lundi 30 septembre, à Paris 20e (CNT/antifas), mardi 1^er octobre à Saint-Denis (93, Dionyversité), projection de Ne vivons plus comme des esclaves (1h34 VF-VOSTF), réalisé par Yannis Youlountas, avec Maud, Lisa et Lucas, et le soutien de nombreux amis. Venu des catacombes grecques de l’Europe, un murmure traverse le continent dévasté : « Ne vivons plus comme des esclaves » (prononcer « Na mi zisoumé san douli » en grec). Sur les murs des villes et sur les rochers des campagnes, sur les panneaux publicitaires vides ou détournés, dans les journaux alternatifs et sur les radios rebelles, dans les lieux d’occupation et d’autogestion qui se multiplient, tel est le slogan que la résistance grecque diffuse, jour après jour, et nous invite à reprendre en chur sur les mélodies de ce film à ses côtés. Un grand bol d’air frais, d’enthousiasme et d’utopies en marche, venu de la mer Égée. 
http://nevivonspluscommedesesclaves.net/spip.php?rubrique6

Voici quelques extraits et bandes-annonces : 
http://nevivonspluscommedesesclaves.net/spip.php?article27 (extrait 2, message aux Français) 
http://nevivonspluscommedesesclaves.net/spip.php?article26 (extrait 1, jeunesse insurgée) 
http://nevivonspluscommedesesclaves.net/spip.php?article18 (BA 3, antifascisme) 
http://nevivonspluscommedesesclaves.net/spip.php?article25 (BA 2, résistance) 
http://nevivonspluscommedesesclaves.net/spip.php?article4 (BA 1, état des lieux)

La version définitive après corrections, modifications du montage et toilettage du son sera dévoilée le 21 septembre au Festival du film grolandais à Toulouse puis mise en ligne gratuitement le 25 septembre.

« La gratuité est l’arme absolue contre la dictature du profit. » Raoul Vaneigem

courriel : yannis@nevivonspluscommedesesclaves.net  

Mardi 1^er octobre, à 19h, à Paris 20^e, « Crise globale et mouvements des places : un nouveau démos ? » séminaire du conseil scientifique d’Attac, avec David Graeber. En confrontant acteurs des mouvements et chercheurs de diverses disciplines, dans une dimension comparative et internationale, ce séminaire vise à construire une réflexion collective de qualité sur un phénomène qui rebat les cartes de la théorie et de la géopolitique de la démocratie. Première séance : Occupy Wall Street, un bilan. 

Le Lieu-dit, 6, rue Sorbier.

Vendredi 4 octobre 20h30, Paris 11^e, Ciné Léon avec la projection d’un film de Christophe Cordier Frères de classe, suivie d'une rencontre-débat en présence du réalisateur (avec auberge espagnole pour partager ensemble nos p'tits plats et boissons). "Quelques années après 68... C’est l’histoire d’une lutte dans une usine, celle du Joint français, à Saint-Brieuc, en mars 1972. Une grève dure, avec occupation et séquestration des patrons. De cette lutte, un moment unique va être immortalisé par un cliché photographique : un ouvrier et un CRS face à face. Deux hommes prêts au corps à corps... Mais cette photo, devenue à l’époque le symbole de l’affrontement entre la classe ouvrière et la police, ne dit pas tout. Quelle réalité se cache derrière l’image ?"

www.fetealeon.org/CineLeon

Centre d'animation Mercœur, 4, rue Mercœur (Mo Charonne).

 

Samedi 5 et dimanche 6 octobre, à Bayonne, Alternatiba : « Ensemble, construisons un monde meilleur en relevant le défi climatique ! » Quelques jours après la publication du rapport du Giec, un village des alternatives va occuper les rues et les places du centre-ville. Alors que les Etats et les multinationales mettent en œuvre des fausses solutions, Alternatiba mettra en lumière les alternatives et solutions des peuples, ancrées sur les territoires et visant à transformer le système pour faire face au changement climatique et à la crise énergétique.

A la fois une mobilisation citoyenne et une fête populaire, une université géante à ciel ouvert et un salon des alternatives concrètes et des solutions joyeuses, un village convivial, festif et instructif, Alternatiba regroupera 500 bénévoles, 200 artistes et musiciens, 150 associations exposant, 100 conférenciers et plus de 10 000 participants.

« Nous appelons tout le monde à nous rejoindre ! Nous espérons que Alternatiba sera une étape utile et réussie pour renforcer le mouvement international pour la justice climatique et sociale. »

Voici l'appel en français signé par plus de 50 organisations (dont Attac France, les Amis de la Terre, Solidaires, etc.) : http://www.bizimugi.eu/fr/lappel-ensemble-construisons-un-monde-meilleur-en-relevant-le-defi-climatique/

Programme détaillé des conférences : http://www.bizimugi.eu/fr/alternatiba/programme-complet/

Toutes les informations : http://www.bizimugi.eu/fr/groupes-operationnels/alternatiba/

Contact : alternatiba2013@bizimugi.eu

Article de Reporterre : http://www.reporterre.net/spip.php?article4230

 

Mardi 8 octobre à 19h, à Paris 20^e, rencontre-discussion avec Monique Pinçon-Charlot et Michel Pinçon autour de leur nouveau livre La violence des riches (éd. Zones http://www.editions-zones.fr/). Sur fond de crise, la casse sociale bat son plein : vies jetables et existences sacrifiées. Mais les licenciements boursiers ne sont que les manifestations les plus visibles d’un phénomène dont il faut prendre toute la mesure : nous vivons une phase d’intensification multiforme de la violence sociale. 

Mêlant enquêtes, portraits vécus et données chiffrées, Michel Pinçon et Monique Pinçon-Charlot dressent le constat d’une grande agression sociale, d’un véritable pilonnage des classes populaires : un monde social fracassé, au bord de l’implosion.
Loin d’être l’œuvre d’un « adversaire sans visage », cette violence de classe, qui se marque dans les têtes et dans les corps, a ses agents, ses stratégies et ses lieux. Les dirigeants politiques y ont une part écrasante de responsabilité. Les renoncements récents doivent ainsi être replacés dans la longue histoire des petites et grandes trahisons d’un socialisme de gouvernement qui a depuis longtemps choisi son camp. À ceux qui taxent indistinctement de « populisme » toute opposition à ces politiques qui creusent la misère sociale et font grossir les grandes fortunes, les auteurs renvoient le compliment : il est grand temps de faire la critique du « bourgeoisisme ».

Le Lieu-dit, 6, rue Sorbier, 01 40 33 26 29, contact@lelieudit.com

 

* Emission Terre à Terre de France Culture sur le  « do it yourself », et donc les ateliers d’écologie pratique qu’organise Michel Scrive :

http://www.franceculture.fr/emission-terre-a-terre-do-it-yourself-2013-09-07

Dernier compte rendu sur les fânes de cuisine en mai : http://ateliers-ecologie-pratique.org/IMG/pdf/atelier-fanes.pdf

 

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RETRO-AGENDA

 

Le 2 septembre, Hervé Kempf, journaliste du média indépendant sur l'écologie Reporterre quittait le journal Le Monde

http://www.reporterre.net/spip.php?article4586

La bandabeber de l'émission de Zoom-écologie sur Radio Fréquence Paris Pluriel (106.3 FM) l’a interviewé le 5 septembre http://www.zoom-ecologie.net/spip.php?article128 (l’émission traitait également de la lutte contre les hydrocarbures de schiste). Le 9 septembre il était l’invité de l’émission « Là-bas si j’y suis » : http://www.franceinter.fr/emission-la-bas-si-jy-suis-herve-kempf-celui-qui-paie-lorchestre-choisit-la-musique

 

Vendredi 6 et samedi 7 septembre, assises nationales sur "la question de l'autonomie de la technique", en lien avec le Cetcopra (Centre d'études des techniques des connaissances et des pratiques). http://technologos.fr/textes/assises_nationales.php

 

Le manifeste de Technologos http://technologos.fr/ :

Maîtrisons-nous nos techniques ou en sommes-nous les esclaves ?

Au fil des siècles, l'homme a conçu ses outils dans le but d'améliorer sa condition.

Or force est de constater que ceux-ci contrarient aujourd'hui sa sécurité, son confort et sa liberté bien plus qu'ils ne se mettent à leur service.
Posons-nous quelques questions. Pourquoi, par exemple, l'homme ne sait-il pas arrêter ses centrales nucléaires lorsqu'elles échappent à son contrôle ? Pourquoi, dans le monde du travail, se proclame-t-il toujours "acteur" mais jamais "responsable" quand survient un accident ? Pourquoi laisse-t-il les robots-traders faire la loi à Wall Street et sur l'ensemble de l'économie mondiale ?

Pourquoi le système technicien est-il fondamentalement productiviste, donc générateur de prolétarisation et d'inégalités (quand la spéculation financière ne l'est que secondairement) ?

Comment - parce qu'il ne reconnaît pas cet enchaînement causal - l'homme occidental menace-t-il les fondements de la démocratie (ce qui fait le lit du fondamentalisme religieux) en même temps

qu’il détruit l’équilibre écologique de toute sa planète ? Pourquoi cet homme, qui ne jure d'habitude que par les libertés, se laisse-t-il localiser passivement par les radars, les caméras de surveillance, les systèmes GPS et autres techno brothers ? Pourquoi s'apprête-t-il à introduire des nanocapteurs (objets dits "intelligents") dans son organisme en leur donnant carte blanche ? Pourquoi confie-t-il de plus en plus de responsabilités à des automates, au point de devoir "communiquer" avec eux bientôt plus qu'avec ses semblables ? Pourquoi, via internet, cherche-t-il à "se faire des centaines d'amis" qu'il n'a jamais vus et ne verra jamais ? Pourquoi y exhibe-t-il de plus en plus son intimité ? A-t-il donc quitté le terrain de l'humanité pour celui d'une post-humanité, élaborée en fonction de ses moyens, qu'il érige désormais en finalités ? En est-il devenu, à son insu, leur "serviteur volontaire" ? Leur est-il aliéné ?

Toutes ces questions, quelques citoyens se les posent régulièrement. Ils le font sans nostalgie ni réflexe technophobe, animés seulement par un esprit critique qu'ils ont du mal à percevoir autour d'eux, que ce soit dans la sphère politique ou dans les milieux intellectuels et militants. Ils sont en revanche guidés par les travaux d'une poignée d'intellectuels du XXe siècle, qu'ils jugent clairvoyants et dont ils se réclament les héritiers : Hannah Arendt, Jacques Ellul, Bernard Charbonneau, Günther Anders, Ivan Illich… pour ne citer que les plus importants.

Nous faisons partie de ces citoyens.

A ce titre, nous vous invitons à créer avec nous des espaces de débat public consacrés à la place de la technique dans les mentalités. Dans l'objectif de résister à sa sacralisation et d’oeuvrer à sa démystification. Eric Andrade, Dorothée Benoit Browaeys, Cyrille Bodolec, Christophe Bonneuil, Dominique Bourg, Simon Charbonneau, Jean-Michel Dauriac, Joël Decarsin, Gérard Dubey, Fabrice Flipo, Jean-Baptiste Fontaine, Jean-Baptiste Fressoz, Alain Gras, Philippe Gruca, Marie Guibert,

Jean-François Hérouard, François Jarrige, Maxime Jebar, Jean-Pierre Jézéquel, Jean-Paul Karsenty, Philippe Lacaze, Anthony Laurent, Stéphane Lavignotte, Philippe Léna, Michel Lepesant, Noël Mamère, Sébastien Morillon, Sophie Poirot-Delpech, Michel Rodes, Frédéric Rognon, Thierry Sallantin, Olivier Sigaut, Michel Sourrouille, Christian Sunt, Jacques Testart, Lionel Thébaud, Hélène Tordjman, Pierre Triga

 

Lire aussi Cédric Biagini, auteur de L'emprise numérique (éditions de L'échappée) et le groupe Marcuse, auteur de La liberté dans le coma (éditions de La lenteur) invité le 15 septembre dernier de la librairie associative Michèle Firk de Montreuil pour une discussion croisée autour de leurs récents ouvrages. Ces deux livres, enquêtes de long terme, analyses sociales précieuses, parus en 2013, traitent chacun à leur façon du déferlement technologique dans nos vies : internet, téléphones portables, puces RFID, biométrie, tablettes numériques, école 2.0, etc. Loin de l’aspect gadget et du côté pratique des innovations techniques, c’est à chaque fois la liberté et la dignité humaine qui reculent. Après des exposés de chacun des auteurs invités, une discussion ouverte aura lieu pour envisager quelles sont les possibilités que nous avons pour résister à l’administration des existences et au contrôle de nos vies par écrans interposés.

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SAVOIR, AGIR

 

- Contribution du Mouvement des objecteurs de conscience (MOC) à une réflexion au sujet de l’écosocialisme : http://www.les-oc.info/ecosocialisme/ (travail en cours)

http://decroissances.blog.lemonde.fr/

http://les-oc.info/  

 

- ZAD partout : http://generationsfutur.zici.fr/luttes-locales-a-soutenir/

http://www.reporterre.net/spip.php?article4565

Le bruit court, court, court… que le 14 juillet 2014 des dizaines, des centaines, des milliers de troupeaux de clowns marcheront sur les Champs Elynez… et ça recrute, ça entraîne, ça bouge d’ici là… Enragez-vous !!!

L'aventure naissante du KKKIIIFFF... pour dire entre autres :

K : Konvoi / Karavane / Kollective / Karnavalesque

I : Itinérante / Informative / Insoumise / Instantanée / Illimitée / Improbable

F : Farceuse / Fraudeuse / Folle / Filou / Frondeuse / Fantastique...

Largement inspiré des réflexions sur la ZAD Volante. Avec, pour commencer, 4 juments, 2 poulains, 1 cheval, 2 ânes... de nombreux humains, quelques chiens, un chat... quelques véhicules

La route prévue est simple : on prend les gorges de l'Hérault pour rejoindre Béziers et le canal du midi, puis direction l'Atlantique par le canal via Carcassonne, Toulouse, Bordeaux... et ensuite les belles plages de la côte direction le Nord via la ZAD de Notre-Dame-des-Landes, tout ça pour arriver au plus tard à Paris pour le 14 juillet... et la prophétie des clowns !

Sachant que la caravane ira doucement - 20 km par jour en moyenne au maximum -, nous avons beaucoup de temps pour prévoir des étapes sur la route... donc bienvenue aux propositions en tous genres, bienvenues si vous voulez venir prendre l'air avec nous, bienvenue aux coups de main, aux sponsors si vous voulez faire un don voir donner un peu chaque mois, bienvenue à tout!!!

Pour conclure, une ouverture sur les multiples possibles du KKKIIIFFF :

>>> école itinérante de partage de savoirs

>>> école du nomadisme collectif (et avec animaux)

>>> école de la lenteur et du ralentissement, de la décroissance et de la simplicité

>>> école des campements éphémères, de la légèreté, de l'habitat nomade...

>>> école des relations humaines, des rencontres, de l'aventure...

Bref ça va être une superbe aventure (qui l'est déjà d'ailleurs superbe !) et je vous invite à y participer comme vous le souhaitez...

Pour finir, Baptiste nous invite à voir ou à revoir la vidéo The Man : http://www.youtube.com/watch?v=WfGMYdalClU&list=PLAiAokQggQjOshBZpyehx-KQ_4J9uSG4g

 

- L'An 02 (revue d’écologie politique) n° 4 : autour du désir de collectif, entre fabrique de l’individualisme, communautés, « vivre-ensemble », biens communs et culture de l’égoïsme. Sans oublier Valparaiso, les écologistes américains, les solutions au « solutionnisme », ainsi qu’une bande dessinée d’un format exceptionnel (pour nous) : « Nous étions souverains ». http://www.lan02.org/2013/05/numero-en-cours/

 

 

 

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AUTRES VOIX, AUTRES VOIES

 

D’autres agendas sont possibles.

Angers : http://alter49.org/
Bruxelles : http://bxl.indymedia.org/
Bordeaux : http://gironde.demosphere.eu/
Clermont/Auvergne : http://auvergne-indymedia.org/
Dijon : http://www.brassicanigra.org/
Grenoble : http://grenoble.indymedia.org/
Lille : http://lille.indymedia.org/
Lyon : http://rebellyon.info/
Marseille/Sud-Est : http://millebabords.org/  
Nantes : http://nantes.indymedia.org/
Paris/Ile-de-France : http://www.demosphere.eu/  http://letohubohu.free.fr/
Rennes :  http://rennes-info.org/
Rouen : http://raf.apinc.org/
Saint-Étienne : http://lenumerozero.lautre.net/
Toulouse : http://toulouse.indymedia.org/spip.php?page=agenda
Troyes/Aube, Champagne : http://rama01.free.fr/3/agenda.htm#dr

De la région parisienne à l’Ariège en passant par la Belgique http://rezo.net/agenda (sélection du Portail des copains dans le réseau Démosphère)

 

A lire…

Un peu partout…

http://www.agoravox.fr
http://alter-echos.org/
http://www.article11.info
http://www.bakchich.info
http://www.bastamag.net/
http://bellaciao.org/fr
http://labrique.net/

http://www.cqfd-journal.org/
http://www.cequilfautdetruire.org/ (archives)

http://www.cip-idf.org/

http://consom-solidaire.over-blog.com/
http://www.apeas.fr/IMG/lettre/lettre_20110217_c3f70_fr.html (la Dynamo traverse le sud)

http://dissent-fr.eu/

http://entreleslignesentrelesmots.wordpress.com/ (notes de lecture et débats)

http://rl.federation-anarchiste.org/spip.php?page=sommaire

http://www.france.attac.org/spip.php?page=agenda

http://generationsfutur.zici.fr/

https://infokiosques.net/

http://www.magmaweb.fr/spip/ (Lieux communs)

http://www.medelu.org/spip.php?article708 (Mémoire des luttes)

http://www.monde-diplomatique.fr/rendez-vous/

http://nopasaran.samizdat.net/

http://les-oc.info/

https://paris.indymedia.org/

http://www.les-renseignements-genereux.org/postillon/

http://www.pratiques.fr/ (Cahiers de la médecine utopique)

http://www.reporterre.net

http://www.rosa-lux.fr/

http://terreaterre.ww7.be/

http://www.le-tigre.net/

http://www.bbec.lautre.net/www/spip_truks-en-vrak/spip.php?

http://rencontres-et-debats-autrement.org

http://www.zite.fr/

 

A vivre

http://colibris.ning.com/?xg_source=msg_mes_network

http://partipirate.org/blog/

http://www.reseau-relier.org/

http://www.recit.net/

http://enviedepaysans.fr/carte-des-evenements/#.Ujhk8uBOy5o

 

Du côté des cafés repaires de Là-bas si j’y suis http://www.la-bas.org/

Tous les 1^er et 3^e samedi du mois à 17h, au Lieu-dit, 6, rue Sorbier, Paris 20^e, etc.

http://www.la-bas.org/article.php3?id_article=981

 

 

 

 

Si ce pigeon numérique est allé se poser en des lieux où il n'avait rien à faire, n'hésitez pas à le guillocliquer (le zigouiller d'un coup de clic), à nous remonter les bretelles et à nous demander de vous rayer de nos cartes courrielophiles [formule empruntée à nos amiEs du théâtre Eprouvette que l’on remercie au passage].