Messages de Gabriel par Phoebe - 29 janvier et 1er février 2013
29.01.13 J’ai reçu ce message ce matin alors que j’étais en train de penser à ce que je devais ramener en France la semaine prochaine.
Archange Gabriel :
Dans un univers d’abondance, il n’est pas nécessaire de « déplacer » quoi que ce soit ou de s’accrocher aux choses. Dieu – ou « l’Univers » comme certains d’entre vous préfèrent, évitant ainsi ce joli mot de quatre lettres – pourvoira toujours à tout. Si tu ne me crois pas, regarde tes amis les oiseaux. Lorsqu’ils migrent, ils laissent toujours leurs valises derrière eux. Et les gens se réfèrent à eux comme ayant « une cervelle d’oiseau » !
Si bien que chaque fois que tu fais tes bagages pour quitter un lieu et t’installer dans un autre, ou que tu mets de l’ordre dans tes propres affaires en général, prends ce dont tu as besoin et laisse le reste pour que ce soit utilisé par quelqu’un d’autre.
La dernière fois que j’ai vérifié, il y avait encore de tout en abondance à Paris !
1.02.13
Archange Gabriel :
Il y avait une fois un homme "fou" qui vivait dans la dernière maison sur la gauche d’un village reculé. Dans ce village vivait aussi une petite fille un peu curieuse qui passait chaque jour devant la maison de cet homme sur son chemin pour aller à l’école. Elle faisait vraiment très attention car ses parents lui avaient susurré à quel point cet homme était dangereux.
Rendez-vous compte, il était toujours heureux. Il semblait ne jamais avoir peur du futur et n’avait absolument aucun regret par rapport au passé. Bien entendu, c’était là un comportement étrange pour un être humain. Il souriait toujours aux gens qui passaient et leur faisait un signe amical de la main. Il était connu pour dire à voix haute des choses comme : "vous êtes un être merveilleux", "les papillons sont aussi des fleurs" et "tout est un miracle" !
Un jour la petite fille s’est hissée subrepticement par-dessus la clôture et s’est cachée derrière la palissade. Elle a vu l’homme attacher des rubans roses et violets autour du cou de ses chats et l’a observé qui offrait une gâterie à chacun de ses chiens. Il tournait autour d’eux en les félicitant chacun à leur tour. Rassemblant alors tout son courage, elle finit par lui demander ce qu’il faisait. Il lui répondit qu’il avait organisé une course et qu’aucun d’eux n’avait gagné et aucun n’avait perdu. "Eh bien, ajouta-t-il, que pouvais-je faire ? Il fallait que je les récompense tous !" Il se mit alors a rire à gorge déployée et à marmonner entre ses dents quelque chose à propos de ce qu’est une foire d’empoigne.
Alors, n’est-ce pas, vous comprenez maintenant pourquoi tout le monde pensait qu’il était fou. Mais dites-moi, qu’est-ce que vous tenez derrière votre dos ? J’espère que ce n’est pas un ruban rose ou violet. Vous feriez bien de vous méfier avant que tout le monde ne pense que vous aussi avez attrapé le virus du bonheur !
Traduction française : Sylvain du Boullay
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