Dans son dernier bulletin mis en ligne par Elodie (elo29), Danielle Clermont écrit :
(…) je crois qu’il est bon, en ouverture de ce bulletin, de revenir un peu sur les symptômes propres à cette tumultueuse période d’éveil individuel, d’éveil collectif
Une fenêtre d’interprétation qui peut beaucoup aider en ce moment est celle qui tient compte (tous les jours) de l’intensification et de l’accélération des énergies actuelles. Un très grand nombre d’entre nous sommes appelés, cet automne plus que jamais, à rayonner la lumière, je dirais « au maximum » de nos capacités. Cette lumière grandissante en nous-mêmes, et autour de nous, amène parfois, aussi, des phases d’ajustements dans tous nos corps. Selon les dispositions (et les mémoires antérieures) de chacun, les symptômes peuvent être physiques, émotionnels, mentaux ou spirituels : des ajustements dans le sommeil (insomnie); des troubles digestifs (changement de diète); être face à des situations exigeantes, qui confrontent, qui appellent notre conscience et notre amour; de fortes fluctuations d’humeurs et du niveau de vitalité, sont quelques exemples « de comment » peut se manifester l’intensification actuelle de la lumière.
Je me reconnais dans tous ces symptômes et dans d’autres qui ne sont pas nommés. Je me reconnais dans une sensation très particulière de « détachement » et de « présence ». Détachement à la fusion, à la confusion, aux extrêmes de tous ordres, et présence à l’instant, à moi-même, aux événements, aux signes et aux messages, aux énergies et aux vibrations, à la rencontre avec l’autre au-delà des mots, au partage de la lumière…
Depuis quelques temps, je me dis : « C’est bien, tout le monde parle de changement vibratoire, nous recevons énormément de messages canalisés, nous ressentons beaucoup de mouvements dans nos corps et de transformations dans nos vies et dans nos relations, je sais comment je vis cette période, comment j’ai fini par accepter de la vivre et à dire un jour : « OK, d’accord, j’ai compris, j’accepte » mais que se passe-t-il pour les autres ? Comment sommes-nous reliés dans nos expériences ? Comment pouvons-nous évoluer ensemble ? »
Au terme de cette réflexion, j’ai l’impression que nos témoignages croisés pourraient être source d’enrichissement et de compréhension. Et j’ai le sentiment qu’il m’est demandé d’être celle qui les accueille, les rassemble et les donne à partager.
Voilà pourquoi je demande ici : « Et toi, comment vas-tu ? » et je propose à celles et ceux qui le souhaitent de m’envoyer une réponse écrite très simplement de ce que cela leur inspire. Puis, j’harmoniserai l’ensemble pour vous le faire partager.
Avec toute mon attention en cette période d’ajustement,
Brigitte Guilhot