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Référence de la petite annonce : 12052
Catégorie : prof. santé
annonce déposée le : 15-05-2010
Par : monstrinfo
René Quinton-le sérum de Quinton
Bonsoir.
je viens de découvrir ce site sur la santé réalisé par un médecin:
http://pagesperso-orange.fr/francois.epineuze/sommaire.htm
 
et particuliérement sa page concerant le sérum de Quinton.
voir ici l'article complet original:
http://pagesperso-orange.fr/francois.epineuze/le_quinton.htm
à vous de vous faire votre opinion!
 
Belle journée,
jérome
 

René Quinton effectua une expérience étonnante il y a presque 100 ans
 
Le QUINTON
 
Eau de mer naturelle conservée selon le procédé original de René Quinton, ce médecin de génie qu'une fois de plus la médecine française a "oublié" montrant, comme à l'accoutumée, sa prodigieuse faculté d'oubli vis-à-vis de ses plus grands précurseurs. Ceux qui ont laissé à l'humanité des thérapeutiques simples basées sur des découvertes révolutionnaires.
Qui se souvient encore aujourd'hui de René Quinton mort le 13 juillet 1926 avec, à l'époque, tous les honneurs ?
Ses travaux, d'une importance capitale sont à redécouvrir actuellement et il faut signaler ici comment ce singulier médecin en arriva, bien avant l'heure, à donner la solution au problème de la transfusion sanguine. 
Par ailleurs nous verrons également, dans une autre page  de ce site,  comment on peut utiliser la forme injectable, isotonique, pour traiter les problèmes de douleurs du dos en appliquant une méthode qui s'appelle l'hydrotomie percutanée à l'eau de mer.
 
Comment cette découverte des fabuleuses propriétés de l'eau de mer fut-elle faite par Quinton ?
 
C'est grâce à une vipère endormie qui se trouva sur la route de René Quinton lors de vacances en Bourgogne en 1895, il la ramena chez lui car l'animal était engourdi par le froid et il la plaça près du feu afin qu'elle se réchauffe, ainsi installée près d'une source de chaleur, la vipère se réveille peu à peu. Quinton pense alors que cette sorte d'animal très ancien dans l'histoire de la terre devait provenir d'une époque où la terre avait une température constante et chaude, vraisemblablement aux alentours de 44 ° C. Plus tard, quand la terre commença à se refroidir progressivement les animaux, pour survivre, durent trouver un moyen de s'adapter.
 
Et alors deux solutions furent trouvées :
 
1. Certains animaux réduisirent leur activité et aussi leur consommation d'oxygène ce qui donna les animaux à sang froid.
2. D'autres furent amenés à créer un système interne de réchauffement régulé par la consommation d'oxygène, ce furent les animaux à sang chaud.
Quinton pensa qu'il suffisait de mesurer la température interne des diverses espèces pour  établir l'ordre chronologique de leur apparition sur la terre.
Évidemment quand le jeune Quinton, chercheur à l'esprit innovant, voulut exposer des théories aussi nouvelles pour son époque il lui fut ri au nez et on lui conseilla vivement d'aller jouer ailleurs et de laisser faire les grandes personnes. Déjà il y avait une grande stupidité qui régnait parmi la communauté dite scientifique.
Et pourtant, un jour béni, il rencontra le professeur Marey, du Collège de France, qui , lui, ne rit pas et fut même emballé par cette thèse hardie qu'il n'hésita pas à qualifier de " profondément pensée ".
Et c'est donc ainsi que René Quinton fut embauché comme chercheur au prestigieux Collège de France.
Il put alors réaliser tous les essais dont il avait rêvé sur la température interne des espèces animales, ce qui lui permit bientôt d'établir sa première loi biologique : celle de la constance thermique qui venait peaufiner celle de la fixité des milieux intérieurs de Claude Bernard en 1878.
Notons au passage que 44 °C c'est la température maximale limite des phénomènes biologiques cellulaires.
Continuant ses travaux, Quinton en arrive à une seconde hypothèse. Si la vie est apparue sur terre alors que la température avoisinait 44 ° C, ceci s'est fait alors que les continents étaient encore immergés sous les océans. Donc la vie n'a pu en toute logique apparaître que dans les fonds marins. Ce que depuis la science moderne a confirmé puisque l'on admet maintenant que nous sommes sortis de l'eau pour, de poissons, devenir les mammifères que nous sommes.
Donc plus tard, quand les continents commencèrent à émerger, un certains nombres d'espèces partirent habiter la terre ferme en transformant pour cela leur organisme et donc leur mode de vie, mais évidemment il gardèrent toujours dans leur organisme la trace de leur origine marine en emportant un peu de liquide marin originel.
Pour vérifier son audacieuse théorie, il suffisait à René Quinton de contrôler la composition du plasma sanguin, de la lymphe, des cavités séreuses, des tissus conjonctifs et de comparer à la composition de l'eau de mer, ceci dans toutes les espèces animales y compris chez l'homme.
Et les résultats furent au rendez-vous, ils corroborèrent la théorie.
 
Mais, malgré cela, nombre des ennemis de Quinton, ceux qui déjà avant l'heure pratiquaient le politiquement correct et investissaient leur médiocrité dans la jalousie qu'il portait au génial médecin, doutaient toujours.
Alors, pour mieux frapper les esprits et sûr de ce qu'il avançait il n'hésita pas à faire publiquement une première expérience qui, à cette époque, fut célèbre dans le monde entier.
 
Il saigna à blanc un chien en le vidant de son sang et le remplaça par une quantité équivalente d'eau de mer ramenée à l'isotonie, c'est-à-dire à la concentration en sels minéraux correspondant à celle du sang de l'animal. Cette expérience était très importante et mérite qu'on la rapporte ici telle qu'elle fut rédigée par Quinton lui-même.
Il prit un chien de 10 kg qu'il vida entièrement de son sang par l'artère fémorale en 4 mn, alors le réflexe cornéen disparut indiquant un état de mort apparente, il commence l'injection d'eau de mer restée telle quelle, il l'a porta simplement à la température de 23 °. Il en injecta 532 ml en 11 mn. Le réflexe cornéen réapparaît.
L'animal montre un abattement considérable, il s'affaisse et parvient tout au plus à se relever. La peau du cou garde le pli qu'on lui imprime au pincement, signe d'une extrême déshydratation. La marche est impossible. La respiration est haletante et très courte. Placé sur une couverture, le chien y reste étendu sans aucun mouvement.
 
* Le deuxième jour
21 heures après la saignée, le lendemain, l'animal trotte.
Cependant les globules rouges sont tombés de 6,8 Millions à 2,9 Millions et de son coté l'hémoglobine est passée de 19 à 12.
 
* Le troisième jour
L'état du chien change, la plaie se met à suppurer et la fièvre apparaît : 40 °. La tristesse et l'abattement du chien deviennent extrêmes, son état paraît alors très grave. Se pose effectivement un problème et Quinton se demande si l'organisme appauvri par la saignée pourra en présence de l'eau de mer accomplir la leucocytose (augmentation des globules blancs) nécessaire pour pouvoir lutter contre l'infection ?
 
*Quatrième jour
L'état de gravité de santé du chien persiste.
Cependant, Quinton a l'intuition géniale de faire un contrôle dans le sang de : 
    Globules rouges qui sont à 3 Millions
    Globules blancs qui sont à 24 000
    Et enfin l'hémoglobine qui est à 16
 
Il est donc certain maintenant que la réaction leucocytaire a bien eu lieu.
Dans la soirée du quatrième jour, le chien ressuscite et mange 400 g de viande.
 
Dans les jours qui suivent notre génial médecin montre qu'il a gagné son pari car le chien se rétablit très vite.
 
* Huitième jour
L'exubérance du chien devient même un peu exagérée comme si il avait trouvé une nouvelle vivacité qui est confirmée encore les jours suivants.
 
Par esprit d'espièglerie et pour faire un bras d'honneur à tous les "singes savants", Quinton appela ce chien " Sodium ".
 
Cinq années plus tard, en 1902, ce chien vivait encore.
 
***********************************************
 
Riche de cette expérience qui en son temps, rappelons le, fit un succès mondial, Quinton effectua ensuite d'autres expériences similaires sur d'autres animaux ce qui prouva et démontra que l'eau de mer peut tout à fait remplacer le sang et aussi que ces injections amènent toujours un surcroît de vitalité dans les jours qui suivent.
Toujours aussi curieux et s'interrogeant sur cette eau de mer miraculeuse, il découvrit en l'analysant des constantes en ce qui concerne la concentration en sels minéraux et il établit déjà en ce début de 1900 qu'il y avait :
- 84 % de chlorure de sodium
- 14 % de soufre, magnésium, potassium et calcium
- 2 % de 10 autres éléments à l'état de traces
Et
- 13 autres éléments très rares que l'on devait appeler plus tard oligo-éléments.
Évidemment Quinton ne disposait pas à son époque de possibilités d'analyse aussi précises que maintenant, c'est pourquoi il ne pouvait définir avec précision la nature de ces oligo-éléments.
Et pourtant il en avait déjà compris l'extrême importance puisqu'il en disait  :" il y a une micro chimie physiologique à peine commencée qui montre à n'en point douter le rôle capital que jouent certains corps dans la vie à des doses extrêmement réduites et à ces seules doses ".
Rappelons  qu'il faudra attendre les années 50 pour que ces hypothèses deviennent, grâce aux travaux du docteur Jacques Ménétrier, des réalités confirmées et que le rôle et le nom de ces fameux oligo-éléments soient connus avec précision.
 
Mais pour René Quinton une certitude était dorénavant acquise, l'eau de mer, à condition qu'elle soit isotonique, est capable de se substituer totalement au sang si celui-ci ne peut plus remplir son rôle. En effet il venait ainsi de mettre en évidence l'importance d'un équilibre parfait entre les liquides intracellulaires et les liquides extracellulaires car les échanges osmotiques indispensables à la vie se font grâce au plasma sanguin et au maintien de ses caractéristiques, en cas de " défaillances " de celles-ci il avait donc prouvé qu'on pouvait utiliser à sa place l'eau de mer isotonique. 
 
La naissance des dispensaires de cures marines
 
En 1904 Quinton publia un ouvrage intitulé " l'eau de mer un lieu organique " qui connut un succès mondial dans les mois qui suivirent sa publication. On alla même jusqu'à comparer ses découvertes à celles de Darwin.
Continuant à appliquer sa découverte sur l'incroyable richesse de l'eau de mer, il fut confronté, par l'intermédiaire d'un médecin qui l'appela de toute urgence, à un cas de malade atteint de typhoïde en coma dépassé et dont la mort était imminente.
Quinton pratiqua alors une injection d'eau de mer à ce malade à 11 heures du matin.
Le soir du même jour il retourna voir son malade à l'hôpital et le trouva assis dans son lit en train de discuter avec l'infirmière.
Ce nouveau succès augmenta encore la réputation du docteur Quinton et les médecins ses confrères, à l'époque ce vocable avait encore un sens mais il est vrai que le Conseil de l'ordre de la France de Vichy n'avait pas encore été inventé, furent de plus en plus nombreux à faire appel à lui pour leurs cas désespérés.
Il arriva, entre autres exemples multiples, qu'un interne de l'Hôtel Dieu eut à lui confier un patient cirrhotique très gravement atteint et chez lequel la cirrhose se compliquait d'un érysipèle. Cet interne avait diagnostiqué une mort imminente. Deux semaines après l'injection d'eau de mer le patient sortait de l'hôpital.
 
Reconnu enfin par le corps médical, Quinton appliqua son génial traitement de 1897 à 1904 dans plusieurs grands hôpitaux parisiens : Saint-Louis, Beaujon, l'Hôtel-Dieu, Tenon, La Pitié. A chaque fois il y accumula les guérisons.
 
Contrairement à notre époque, les grands patrons de ces hôpitaux à cette époque collaborèrent activement avec lui et il se créa même une communauté intellectuelle médicale autour du traitement par l'eau de mer, ils n'avaient en ce temps ni le conseil de l'ordre de la milice vichyssoise ni les intérêts des laboratoires chimiques qui n'existaient pas encore, et allèrent jusqu'à produire et signer en commun une cinquantaine d'articles sur ce sujet et présidèrent 5 thèses traitant de la thérapie marine !
 
En 1905, le professeur Porak de l'académie de médecine présenta les résultats obtenus dans son service, une maternité, où des enfants débilités et chétifs lui posaient de grands problèmes de croissance. Une étude faite sur 40 de ces bébés montra que des injections d'eau de mer isotonique leur avait permis de grossir de 10 grammes par jour au lieu de 1,64 gramme, soit 6 fois plus.
 
En juillet 1906 une épidémie de choléra infantile frappa une pouponnière de Rueil. Dix huit enfants en furent atteints, quatre décédèrent en quelques heures. Sur les 14 qui restaient, 3 étaient déjà en état de cyanose.
La directrice de l'établissement fit appel à René Quinton qui les sauva en injectant de l'eau de mer. D'ailleurs René Quinton établit un protocole de traitement du choléra infantile par l'eau de mer.
 
Devant un tel succès de l'eau de mer, en 1907, est décidée l'ouverture d'un dispensaire marin, rue de l'Arrivée près de la gare Montparnasse à Paris.
Aussitôt il connut une grande affluence et un énorme succès. Du coup un second dispensaire ouvrit ses portes rue d'Ouessant.
On soignait chaque jour dans ces 2 dispensaires 500 malades aussi bien des adultes que des enfants.
Alors on décide d'en créer d'autres en France à Toulouse, Lyon, Nancy, Dunkerque, Rennes, Brest, Saint-Denis, Creil. 
A cette époque l'enthousiasme pour cette méthode était extrême.
 
Puis, hélas, arriva la guerre de 14-18 et la France plongée dans sa tourmente et son malheur oublia vite les succès remportés par René Quinton, certainement à cause de la poussée de l'industrie chimique naissante et ainsi furent fermés les uns après les autres les dispensaires dont on a oublié, 100 ans après, jusqu'à l'existence.
 
Officiellement, il n'y eut aucune raison avancée pour la fermeture de ces centres de soin à l'eau de mer.
 
 
Il nous reste de cette époque  et de l'aventure merveilleuse de René Quinton seulement quelques publications et brochures qui relatent les cas de guérisons spectaculaires enregistrés après les injections d'eau de mer. Tout ceci a été rassemblé dans un ouvrage édité au Courrier du Livre : " Le secret de nos origines, révélé par René Quinton ".
 
N'oublions jamais ce qui fut fait à cette époque et notamment la réussite dans le traitement du choléra infantile  qui incite à méditer la réflexion suivante : 
La méthode marine n'a jamais prétendu avoir 100 % de réussite, d'ailleurs quelle méthode ou quelle thérapie pourrait y prétendre, mais celui qui a vu de ses yeux un bébé agonisant, l'oeil pulvérulent, les membres décharnés, à la phase ultime de la mort, se ranimer et alors battre des paupières et esquisser un geste vers le biberon et ainsi revenir à la vie grâce au plasma de Quinton ne peut que sourire devant le ridicule et la mesquinerie des objections de la médecine chimique.
 
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Heureusement, actuellement, le Quinton existe toujours et est utilisé dans de nombreuses pathologies avec succès et le tout dernier est son utilisation dans des pathologies du dos qui sont si douloureuses et où il s'avère qu'il fait merveille dans les atteintes des disques inter-vertébraux, la méthode a été décrite dans le Vérités Santé Pratique N° 47 dans un article intitulé  Hydrotomie percutanée à l'eau de mer et sur ce site par le docteur Epineuze de Paris qui l'a mise au point en collaboration avec Michel Dogna.
 
Quinton avait laissé suffisamment d'indications pour qu'on puisse utiliser l'eau de mer à des fins thérapeutiques et elle est disponible actuellement sous deux formes : le Quinton hypertonique, buvable et le Quinton isotonique, injectable.
 
Le Quinton Hypertonique
 
C'est donc la forme buvable, qui est composée d'eau de mer totale, entièrement naturelle, d'origine océanique. Cette eau est prélevée à 10 mètres du fond et 30 mètres de la surface où il y a encore une pénétration solaire.
Comme je le précisais plus haut, René Quinton avait laissé des indications et notamment les lieux où il allait chercher son eau de mer.
Depuis des études très récentes du Cérébom ont démontré la justesse et le bien fondé de ce choix.
Donc une fois prélevée l'eau subit une pré filtration, in situ, à 0,4 micron puis est ensuite stockée en conteneurs stériles à 4 °C dont le revêtement en propylène est changé à chaque opération.
Le transport est effectué en véhicule iso thermique à 4°C en moins de 48 H jusqu'au laboratoire de conditionnement.
Ensuite la mise en ampoules est effectuée en moins de 24 heures dans des conditions de stérilité absolue selon les normes de la pharmacopée actuelle.
Dans ces conditions idéales, l'eau de mer conserve son équilibre moléculaire et aussi et surtout son caractère de milieu vivant.
 
Le pH varie entre 7,4 et 7,8.
 
On utilise le  Quinton hypertonique pour :
 
Revitaliser
L'anorexie
L'anémie
Le retard pondéral
L'hypertension
L'entraînement sportif intensif
Les cas d'épuisements tant physiques que psychiques
L'asthénie
La dépression
L'ostéoporose
Les syncopes orthostatiques
Les déséquilibres ioniques internes
 
La posologie est de 2 ampoules matin et soir en période aigue, c'est-à-dire dans le traitement d'attaque.
La posologie d'un traitement d'entretien est de 1 ampoule matin et soir.
 
REMARQUE :
Le temps de latence des micros nutriments cellulaires infinitésimaux peut varier de une à trois semaines selon la réactivité des terrains.
De plus le Quinton donne dès le début du traitement un effet euphorisant ainsi qu'une augmentation de la résistance physique. 
 
Le QUINTON isotonique
 
C'est tout simplement de l'hypertonique re dilué avec de l'eau de source du Mont Roucous. Il correspond à l'ancien Plasma de Quinton, ainsi appelé à cause de la façon dont René Quinton présenta l'action et l'intérêt de l'eau de mer sur la circulation (expérience du chien).
C'est donc un produit entièrement naturel dont la concentration est ramenée à l'isotonie physiologique.
Sa concentration est de 9 pour 1000 en sels totaux et pas seulement en chlorure de sodium comme le sérum physiologique. Cette concentration devient ainsi identique à celle du plasma sanguin.
Les globules blancs vivent deux fois plus longtemps dans le Quinton que dans le sérum physiologique.
Et surtout, le Quinton isotonique est préparé sans aucune élévation de température, en effet une élévation de la température, même minime, altérerait inéluctablement l'eau de mer qui ne serait plus alors du tout du Plasma de Quinton mais deviendrait un produit biologiquement mort !
 
Son potentiel d'oxydoréduction, ou rH2, est entre 26,2 et 26,5.
 
Sa résistivité est de 45 000 ohms.
 
On utilise le  Quinton isotonique pour :
 
Rééquilibrer l'organisme en profondeur
Réguler l'homéostasie
Favoriser les échanges cellulaires
Améliorer le renouvellement des liquides extracellulaires
Modifier le terrain
Plus récemment, le Quinton isotonique s'est avéré remarquablement efficace sur les douleurs de dos et dans l'arthrose comme l'a démontré le docteur Epineuze dans son article : l'hydrotomie percutanée à l'eau de mer.
 
Conclusion et remarques
 
Les travaux de René Quinton et de ses successeurs
Alexis Carrel, prix Nobel de médecine 
Alexandre Bogomoletz sur le sérum cytotoxique
Jean Tarricot, la méthode marine
Alfred Pischinger, système de régulation
démontrent de façon incontestable, scientifiquement et cliniquement, que l'eau de mer isotonique est le liquide indispensable au développement de la vie, qu'elle correspond au "milieu interne" défini par Claude Bernard et que cette eau de mer intervient dans la régulation de l'homéostasie décrite par Cannon.
" L'organisme est l'aquarium vivant originel dans lequel les cellules ont maintenu les conditions de vie de leur origine." Pr. Aubert.
Le laboratoire Quinton était installé autrefois à Passac en Gironde, mais devant les menaces et pressions de plus en plus importantes ses propriétaires ont préféré, en 1995, aller s'installer en Espagne.
Il est à noter que le Quinton est proposé un peu partout en France, mais que très souvent, pour se conformer aux exigences nationales, il  a été chauffé pour le "stériliser" et l'on sait que c'est alors tout sauf du Quinton, d'où l'importance de faire très attention à celui qu'on achète.
Celui qui provient directement d'Espagne, et est resté naturel, est vendu par la société Source Claire de Breux-Jouy.
Pour continuer dans les remarques, rappelons que seule la forme isotonique est injectable et qu'il ne faut en aucun cas injecter la forme hypertonique.             
 

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Cette page, mise en ligne le 15-05-2010, a été consultée par 1709 visiteurs
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